Passer par la VGF Academy, « c’est rejoindre la grande famille Volkswagen Group France » grâce à l’alternance

L’alternance est un véritable tremplin vers l’emploi, et c’est d’autant plus vrai lorsque l’on parle des métiers manuels et de la vente, ce que Volkswagen Group France a bien compris. Grâce à son école, la VGF Academy, le groupe forme 250 alternants par an à ses trois métiers phares : conseiller technique expert, conseiller client après-vente et vendeur automobile. Au total, ce sont plus de trente écoles partenaires réparties à travers la France, et chaque établissement est spécialisé dans l’un ou plusieurs des trois métiers. Parmi elles, douze préparent à celui de conseiller technique expert (CTE). Even Jousseaume, est inscrit à celle du GARAC* à Argenteuil, et effectue son alternance dans la concession Volkswagen de Saint-Maximin dans l’Oise.

C’est en juillet 2024 qu’il a été admis dans la formation, après avoir passé un test et un entretien. « J’ai voulu intégrer la VGF Academy, car j’aime beaucoup les véhicules du constructeur, mais pas seulement. Aussi car j’avais fait mes stages chez SEAT CUPRA (une des six marques du groupe) lorsque j’étais en BTS mécanique, et que j’avais apprécié les processus Volkswagen, assez simples à prendre en main », raconte-t-il.

La passion du métier avant tout

Even possédait toutes les qualités recherchées par Frédéric Ruello, son tuteur : « La première, c’est d’être passionné. La seconde, c’est d’avoir touché la mécanique ». Les alternants CTE doivent faire preuve de curiosité et d’intérêt pour la recherche de pannes. Ils doivent aussi être « à l’écoute » et dotés « d’une bonne conscience professionnelle », « même si elle s’apprend avec le temps », concède Frédéric Ruello. Néanmoins, pour viser l’excellence, la passion reste l’essentiel. « On est dans un métier où beaucoup de personnes savent faire la même chose : la distribution, l’embrayage, interroger une voiture… Ceux qui sortent du lot, sont ceux qui détectent des petites particularités qui permettent de réparer 99 % des pannes », assure le tuteur.

Cela fait donc désormais six mois qu’Even alterne entre deux et trois semaines en concession et deux semaines en cours. En entreprise, il occupe le poste de conseiller technique expert. Son travail consiste à « rechercher des pannes » aussi bien sur des véhicules électriques que thermiques. Ce qu’il préfère dans son métier, c’est la phase de diagnostic. « On se retrouve parfois face à des pannes qui ne sont pas évidentes à comprendre. J’aime faire cette recherche, pour ensuite rendre le véhicule fonctionnel au client », raconte-t-il.

Des enseignements poussés et des professeurs passionnés

À l’école, il suit des cours pratiques sur la mécanique, « des ateliers où l’on apprend les réparations basiques. » L’autre partie des enseignements porte sur les diagnostics : « On étudie les systèmes, leur fonctionnement, les capteurs, les actionneurs… et l’après-midi on s’entraîne à la recherche de panne », détaille-t-il.

Even met ensuite en application les notions vues en cours dans le cadre de son apprentissage en concession. « Je dois connaître mes cours et les réviser le soir, car ce que j’apprends en formation à l’instant T, ne va pas forcément me servir en entreprise la semaine suivante ». En effet, son planning dépend des besoins des clients, et il peut parfois faire face à une panne qu’il a étudiée un mois auparavant.

 Tant au niveau de la pratique que de la théorie, Even trouve que l’enseignement dispensé par la VGF Academy est d’un très bon niveau. « Les cours sont intéressants et vivants. Il y a beaucoup de choses à apprendre, il faut s’accrocher mais c’est passionnant », reconnaît-il. Une passion véhiculée par les formateurs, également très pédagogues : « Ils ont de l’expérience, et se sont déjà retrouvés face à des pannes très compliquées. Lorsqu’ils nous expliquent ce qu’ils ont mis en œuvre pour les résoudre, ils en parlent avec passion », résume-t-il.

« Ils sont formés sur nos produits, nos véhicules, nos outils informatiques et nos méthodes de travail »

L’atout principal de la VGF Academy, c’est surtout qu’elle permet aux étudiants de s’approprier la façon de faire « made in Volkswagen » : « Les alternants sont formés sur nos produits, sur nos véhicules, sur nos méthodes de travail, mais aussi sur nos outils informatiques développés en interne », affirme Frédéric Ruello.

Ce dernier observe d’ailleurs une différence entre un profil passé par la VGF Academy et un salarié ayant suivi un parcours généraliste.  « Chez les alternants VGF, le temps d’adaptation est nettement gommé. Ils ont une maîtrise plus poussée de la valise de diag’ (appareil qui permet de diagnostiquer une panne automobile) et sont plus rapidement opérationnels sur leur poste », assure-t-il.

Par ailleurs, la formation permet aussi aux alternants d’acquérir la qualification Manipulation des fluides, ainsi que la certification B2L qui permet d’intervenir sur les véhicules électriques ou hybrides. « Ces deux habilitations sont indispensables aujourd’hui pour pouvoir intervenir dans un atelier », rapporte le tuteur.

Une embauche à la clef

Outre la qualité de l’enseignement, la renommée de la marque, et la pertinence d’un cursus en alternance, passer par la VGF Academy signifie surtout « entrer dans la grande maison Volkswagen, d’après Frédéric Ruello maison qui représente de nombreuses marques. » Le groupe en compte six : Volkswagen, Volkswagen Véhicules Utilitaires, Škoda, SEAT, CUPRA et Audi. Cela est d’autant plus intéressant que « chez Volkswagen Group France il y a énormément de postes à pourvoir », indique-t-il.

In fine, l’objectif est bien de permettre aux alternants de décrocher un poste dans la concession dans laquelle ils ont travaillé. « Si on forme des jeunes à nos produits, à nos process et à nos marques, c’est dans le but de les embaucher ensuite dans nos ateliers », affirme Frédéric Ruello, qui lui-même a recruté 90 % des alternants de la VGF Academy passés par son tutorat. « J’ai la chance de travailler avec des jeunes à l’écoute et très attentifs dans leur apprentissage. »

De son côté, Even tire aussi un « super bilan » de cette expérience, bien qu’il soit à la moitié de son cursus. « J’ai encore beaucoup de chemin à faire, je vais m’améliorer dans les prochains mois, mais je gagne déjà en responsabilités et je sens que je progresse de jour en jour », conclut-il fièrement.

*Garac : École Nationale des Professions de l'Automobile