Travail et tatouage : un mariage possible ?
Si le groupe anglais The Who présente le tatouage comme un rite de passage dans leur chanson éponyme, il est moins certain que la pratique soit la bienvenue dans le monde du travail. Le point, secteur par secteur, et dans l’hôtellerie et la restauration pour commencer.

À la veille d’un entretien, toute personne tatouée s’est déjà demandée si elle devait couvrir ses ornements permanents ou non. À ce sujet, la législation n’est qu’épidermique : seul l’article L1132-1 édicte qu’aucune personne ne peut être écartée d’une procédure de recrutement, ni sanctionnée, ni licenciée, ni faire l’objet de discrimination directe ou indirecte, notamment en raison de son apparence physique.
Si la loi garantit que l’apparence physique d’une personne ne peut interférer en rien avec l’obtention d’un emploi, la réalité professionnelle est toute autre. Il peut être exigé des employés de ne pas avoir des tatouages apparents : consulter le règlement intérieur de l’entreprise avant de se rendre à un entretien d’embauche est un réflexe à adopter.
Les plus tatoués : les travailleurs indépendants
L’enquête de l’Institut français d’opinion publique (IFOP) menée pour le Syndicat national des artistes tatoueurs (SNAT) en 2016 indique que 14% des 1.002 personnes interrogées étaient tatouées...
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