Technicien de maintenance chez Sogetrel : « Je lis tellement de soulagement dans les yeux de ma cliente »

« Lorsque j’arrive chez la cliente pour le dépannage, elle est en pleurs. Nous sommes dans une école d’avocats, il est 17 heures et le lendemain matin se tiennent des examens importants. Tout se trouve sur le serveur informatique qui ne fonctionne plus, c’est la panique, se rappelle Michaël Mercier, technicien de maintenance IT itinérant chez CLIPPER (qui fait partie du groupe Sogetrel). Je reste serein car j’ai toutes les pièces nécessaires. Lorsque je parviens à relancer le serveur, je lis tellement de joie et de soulagement dans les yeux de ma cliente. Si elle pouvait me faire la bise et me prendre dans ses bras, elle le ferait ! »

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Technicien de maintenance IT : « On apprend constamment »

Si cette anecdote a marqué le technicien, elle n’a rien d’exceptionnelle selon lui. « Je fais un métier gratifiant, je reçois des remerciements chaque jour », explique-t-il. Au volant de son véhicule d’intervention, Michaël Mercier parcourt son secteur, notamment dans le Morbihan, pour répondre aux demandes des clients de CLIPPER. Son travail se divise principalement en deux parties. La première, le service après-vente : il intervient pour réparer une machine, remplacer une pièce, dépanner un serveur de façon urgente, etc. La seconde consiste à installer du matériel chez un client : il peut s’agir d’un routeur 4G, d’un firewall ou même d’un mur d’écrans !

Tenté par l’idée de faire le même métier que Michaël ? Le groupe Sogetrel recrute en CDI avec une expérience de deux ans sur un poste similaire et le permis B.

Si certaines compétences sont nécessaires pour travailler efficacement dès le début (diagnostic d’une panne, changement de sous-ensembles, serveurs, réseau informatique), l’expertise se développe tout au long de la carrière du technicien. « Nous travaillons notamment pour des donneurs d'ordre spécialisés dans l'impression et la photocopie : cela nécessite d’être toujours à la pointe des connaissances en passant des certifications en interne pour savoir réparer leurs machines. C’est ce que j’aime dans le métier : on apprend constamment », détaille Michaël Mercier. Ainsi, il a eu l’occasion de partir en formation pour travailler sur « de l’hyper-calculateur. Ce n’est pas rien ! Surtout qu’à cette occasion, j’ai été pendant six mois en Allemagne : c’est un très bon souvenir », ajoute le technicien itinérant.

« On doit nouer une relation de confiance avec le client »

La volonté de transformation pour intégrer les dernières innovations techniques se retrouve dans l’ADN du groupe Sogetrel, dont CLIPPER est l’une des marques. Fondé il y a 35 ans, Sogetrel s’est d’abord spécialisé dans la construction de réseaux de communication avant de diversifier ses activités. Désormais, le groupe aux 4000 collaborateurs intervient dans l’intégration de solutions intelligentes et les services aux infrastructures numériques à travers ses différentes marques (Eryma, ESDI, CLIPPER, Interway, …). Comme Michaël, les techniciens du groupe servent des projets utiles à la société : qu’il s’agisse de contribuer à la transition énergétique en déployant des bornes électriques ou d’œuvrer à la sûreté des citoyens.

Technicien sécurité alarme : l’état d’esprit avant le diplôme

Michaël arpente son secteur, en Loire-Atlantique, pour répondre aux besoins des clients. Il s’agit d’assurer la maintenance des appareils de sécurité mais aussi de réinstaller un dispositif suite au déménagement d’un client par exemple. « On a beaucoup d’autonomie, assure-t-il. Il faut donc être organisé, notamment pour la partie logistique qui consiste à récupérer du matériel et à renvoyer celui hors service. Il est important d’être ponctuel pour respecter son agenda de rendez-vous. Pour la partie technique, on est formé par le client puis on intervient pendant une semaine en binôme avec un technicien plus expérimenté. »

C’est pourquoi les prérequis pour exercer le métier de technicien sécurité alarme ne sont pas liés à des compétences ou à une formation. C’est d’abord, et surtout, du savoir-être. « Quels que soient le diplôme ou le parcours, chez Sogetrel, nous sommes d’abords attentifs à la personnalité et à l’état d’esprit du candidat, détaille Séverine Bezin, responsable recrutement au sein du groupe. Ainsi, pour le poste de technicien sécurité alarme, il faut démontrer un véritable sens du service, être orienté client, avoir son permis B, idéalement savoir manier du petit matériel (perceuse) pour les interventions. Le reste s'apprendra lors des formations, au moment de la prise de poste. »

Un chiffre d’affaires multiplié par cinq en dix ans

Grâce aux connaissances qu’il a acquises et mises en application, les techniciens de maintenance développent un très bon niveau technique sur les systèmes d’alarme de leurs clients. Et ont par ailleurs de vraies possibilités d'évolution. En 2021, 10% des collaborateurs ont été promus, que ce soit au sein du même métier ou dans un autre. Et cela grâce à la diversité des activités d’un groupe présent dans les domaines de l’IT, de la défense, de l’industrie, des transports ou encore de la grande distribution. Avec sa croissance exponentielle (son chiffre d’affaires a été quasiment multiplié par cinq depuis 2013), le groupe Sogetrel ne compte pas s’arrêter là et s’apprête à conquérir de nouveaux marchés. Intégrer l’entreprise est donc plus que jamais un challenge, avec de nombreuses pages à écrire !

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Crédits photos : Sogetrel