Technologies, environnement de travail, rémunération… quelle sera votre bonne raison de devenir technicien de maintenance chez Guerbet ?

Après avoir travaillé dans l’aéronautique, la blanchisserie et l’agroalimentaire, Karim est entré chez Guerbet en 2017, en tant que technicien de maintenance : « Ils sont venus me chercher et j’ai accepté ce poste car le monde de la pharma m’attirait. La qualité et la propreté de l’environnement de travail, contribuer à la fabrication de médicaments, des produits qui aident les gens, ça m'a tout de suite plu ! On se sent utile. »

Quant à Geofray, il est passé « du bleu de travail de la chimie à la blouse blanche de la pharmaceutique », il y a six ans et demi : « J’ai postulé chez Guerbet pour le côté rigueur et l’opportunité de travailler sur des machines très récentes, à la pointe de la technologie : on n’appuie plus sur des boutons, on travaille sur des tablettes, des interfaces homme-machine. »

Travail en équipe, rigueur et pédagogie au cœur du métier

Environnement de travail, technologies stimulantes, sens au travail, rémunération attractive : les raisons de rejoindre le leader mondial de l’imagerie médicale dépendent de chacun et sont multiples ! Groupe pharmaceutique de premier plan, Guerbet développe et commercialise des produits et des services destinés à faciliter l’exercice des professionnels de santé et la qualité de vie des patients au quotidien.

Présent dans plus de 80 pays, le groupe souhaite étoffer ses équipes, notamment en recrutant des techniciens de maintenance, des techniciens de méthode maintenance, mais aussi des techniciens de maintenance en alternance pour ses sites de production d’Aulnay sous-Bois (93) et de Lanester (56).

« Pour les deux premiers postes, nous recherchons des personnes titulaires d’un BTS, d’un DUT ou d’une licence professionnelle avec des savoir-faire en maintenance préventive, curative et améliorative, précise Marie-Agnès Van Den Heede, gestionnaire RH chez Guerbet. Nous attendons de nos collaborateurs qu’ils aient le goût du service, du travail en équipe, de la rigueur et de la méthode, car nous travaillons dans un secteur très exigeant en termes de qualité et de traçabilité. Ils doivent aussi savoir faire preuve de pédagogie, car ils devront accompagner et former les opérateurs de production. »

Curatif, préventif et amélioratif : toute une palette de missions stimulantes

Parmi les missions du technicien de maintenance chez Guerbet, « le préventif, c’est-à-dire faire en sorte que les machines ne tombent pas en panne, et le correctif, qui consiste à intervenir quand la production détecte un problème. Nous travaillons aussi pour améliorer les lignes de production en continu, les rendre plus performantes », explique Geofray.

« On prend soin de nos machines, on essaie d’améliorer leur ergonomie pour les opérateurs de production, on échange avec les fournisseurs, notre champ d’action est très vaste ! Contrairement aux boîtes pour lesquelles j’ai travaillé avant, nos missions sont très variées : de la maintenance pure à la commande de pièces en passant par la lecture de plan », témoigne Karim.

Chaque journée porte son lot de nouveaux défis à relever : « A ma prise de poste, j’ai travaillé sur une machine qui tournait mal et ne sortait que 800 poches de médicament par jour, se souvient Geofray. Avec mon responsable et mes collègues, nous l’avons améliorée et elle sort aujourd’hui 1 500 poches par heure ! On avait carte blanche sur les modifications à effectuer pour améliorer la cadence du moment qu’on était certains que ça n’aurait pas d’impact sur la qualité du produit. C’était très challengeant ! Chez Guerbet, on est toujours en train d’innover. On apprend tous les jours ! »

« J’apprends tous les jours au contact de nouveaux équipements »

Guerbet met un point d’honneur à construire avec chaque collaborateur un parcours professionnel individualisé. Et cela commence par un parcours d’intégration soigné : accueil qualité, sécurité et RH, rencontre avec le manager, tour des services, formation de base sur la qualité, sur les logiciels, stage auprès d’opérationnels pour comprendre leurs contraintes techniques, puis présentation du groupe par le Comex.

« Ce qui est génial, c’est qu’on n’est jamais livré à soi-même, on avance et on apprend en collaboration avec plusieurs services : technique, magasin, amélioration continue. Je suis associé à de nombreux projets et j’apprends tous les jours au contact de nouveaux équipements », témoigne Karim.

« Je ne changerais d’entreprise pour rien au monde ! »

Cette solidarité se double d’une bonne humeur générale et d’une juste reconnaissance du travail accompli, comme en atteste Geofray : « Il y a une très bonne ambiance dans l’équipe ! Notre manager vient du terrain et notre n+2, qui est pharmacienne, nous pose régulièrement des questions sur notre activité. Ils n’hésitent pas à nous dire quand le travail est bien fait. En six ans, j’ai d’ailleurs été augmenté chaque année, on a un niveau de rémunération très satisfaisant, un 13^e et un 14^e mois, de l’intéressement et de la participation. Alors, quand les cabinets de recrutement m’appellent pour me proposer 1 800 € net mensuel, ça me fait rigoler ! Je suis un passionné, qui s’amuse dans son travail et, même si je fais 130 km par jour pour venir travailler et que je me lève à 4h du matin, je ne changerais d’entreprise pour rien au monde ! »

Pour accompagner leur montée en compétences, les techniciens de maintenance mettent régulièrement leurs connaissances à jour au gré des évolutions technologiques et de l’arrivée de nouvelles machines. « Nous mettons tout en œuvre pour renforcer leurs connaissances en électromécanisme, en automatisme. Cela leur permet de devenir polyvalents et de construire leur plan de carrière à la carte. Soit en changeant de secteur, par exemple de la maintenance de production à la maintenance d’utilité, soit en briguant un poste d’encadrement », illustre Marie-Agnès.

« J’ai bien plus appris en 4 ans chez Guerbet qu’en 7 ans auparavant »

« J’ai appris bien plus de choses en quatre ans chez Guerbet qu’en sept ans dans mes quatre entreprises précédentes, affirme Karim. Mon périmètre s’est considérablement élargi et j’aimerais bien, à terme, manager une équipe. Chez nous, un technicien de maintenance peut facilement évoluer vers un poste de chef d’équipe, voire de responsable de maintenance. »

Cela vous a donné envie de postuler ? Karim et Geofray ont quelques conseils pour vous : « Mettez en évidence votre expérience, votre savoir, vos compétences. N’hésitez pas à montrer que vous avez envie d’apprendre et à mettre en avant votre expertise », préconise le premier, quand le second conseille de « se renseigner dans les grandes lignes sur le secteur de la pharma, sur les bonnes pratiques de fabrication des médicaments, notamment. On travaille avec des produits injectables, on doit être sérieux. Il faut être rigoureux, méthodique, aimer rendre des comptes, car toute action doit être tracée ! »

Je postule chez Guerbet !

Crédit image : Hellowork / Guerbet