Se reconvertir après 50 ans : « Si j’avais su, je l’aurais fait plus tôt ! »
Portraits de deux femmes qui se sont reconverties avec succès chez NORMANDISE Pet Food.

Il n’y a pas d’âge pour changer de métier. Les parcours de Linda et Barbara en sont la meilleure preuve ! Malgré les obstacles, les deux femmes ont trouvé leur place chez NORMANDISE Pet Food. Une entreprise familiale qui a su répondre à leurs attentes en termes d’accompagnement et d’équilibre vie pro-vie perso. On vous laisse découvrir comment !
Linda Tierz, 54 ans : « Quand je me fixe un objectif, je vais au bout »

Du prêt-à-porter à l’agroalimentaire
Linda a travaillé 32 ans dans le commerce avant de se reconvertir. Responsable de sa propre boutique de prêt-à-porter, elle décide de « passer à tout autre chose » en 2018 et d’intégrer NORMANDISE Pet Food. « Le moral et les finances étaient en berne depuis deux ans », explique-t-elle. « J’ai gardé mon commerce en parallèle pendant six mois avant de m’en séparer pour de bon. Sans aucun regret ! »
Ses premiers pas dans l’industrie ont en effet été plus que concluants. « J’ai débuté comme opératrice de production pour remplacer une personne qui partait à la retraite. Je suis arrivée en mode découverte et ça m’a plu ! » Son CDI en poche, Linda saisit l’opportunité d’intégrer le secteur « emballage barquettes » de l’entreprise.
Une usine ultra-automatisée
« C’est ma chef d’équipe, avec qui je me suis tout de suite bien entendue, qui m’a proposé de devenir conductrice de ligne dans cette unité entièrement automatisée. » Un service qu’elle a elle-même intégré par la suite ! A son arrivée, Linda est surprise par la modernité des équipements. « A tel point que j’ai fait un pas en arrière en les découvrant pour la première fois. » Ce n’est pas un hasard si NORMANDISE Pet Food a obtenu le label Vitrine industrie du futur, une certification qui récompense les entreprises les plus innovantes de France !
Linda s’est vite habituée à cet environnement de travail futuriste. « Mon rôle est de vérifier que tout se passe bien sur la ligne automatisée et de prendre le relais manuellement, en mode dégradé, s’il y a une panne. Deux personnes suffisent à assurer ces missions. J’adore être entourée de robots et de machines ! » Les tâches ne sont pas routinières pour autant : « Il y a toujours des imprévus. Ça bouge tout le temps ! L’emballage est la dernière étape avant la livraison chez le client. Nous devons vérifier que tout est conforme, c’est une grande responsabilité. »
Des formations et un suivi de qualité
Autre point fort de l’entreprise : la qualité de son accompagnement. « En 2023, j’ai pu suivre une formation d’un an en alternance à l’UIMM de Vire, financée intégralement par l’entreprise. » Ce cursus professionnalisant lui a permis d’obtenir le titre pro Conduite d'Installations et de Machines Automatisées (CIMA). « Maintenant j’ai un diplôme en lien avec mon métier ! » se félicite Linda, fière d’avoir osé retourner à l’école à 52 ans. « Mes camarades de classe avaient trente ans de moins mais ça ne m’a pas découragée. Quand je me fixe un objectif, je vais au bout ! C’est dans mon tempérament. »
Linda a aussi pu compter sur le soutien sans faille de ses collègues. « Je tiens à remercier notre responsable RH, Marine Leconte, qui a toujours été réactive lorsque j’avais des questions. C’est en grande partie grâce à elle si tout s’est bien passé. Les formateurs et ingénieurs méthodes de l’entreprise m’ont aussi aidée à mener à bien mon projet d’alternance. C’était très enrichissant ! »
Ce diplôme a également ouvert les horizons professionnels de la conductrice de ligne. « Comme je suis beaucoup montée en compétences sur le plan technique, j’ai demandé à évoluer comme conductrice référente. » Nul doute que l’entreprise exaucera son souhait dès qu’un poste se libérera !
Barbara Declercq, 60 ans : « Si j’avais su, j’aurais cessé mon activité équestre plus tôt ! »

« Pourquoi pas cariste ? »
Barbara a, tout comme Linda, changé totalement de secteur après plus de trente ans de carrière. Elle aussi était à son compte, mais pas dans le prêt-à-porter ! « Je gérais un centre équestre avec mon époux, mais la crise du Covid-19 nous a contraint à cesser notre activité. » Barbara ne se laisse pas abattre et décide d’y voir une opportunité de reconversion. « Je me suis dit « pourquoi pas cariste ? ».
Un CDI à 57 ans
Après une formation de préparateur de commandes / cariste de quatre mois, elle se met en quête d’un stage. Alors que certaines entreprises « n’ont même pas daigné répondre », la responsable RH de NORMANDISE Pet Food appelle Barbara 24 heures après la réception de sa candidature. « Elle m’a tout de suite proposé de mettre en place le stage de trois semaines. » Un essai concluant de part et d’autre. « J’ai par la suite été recrutée en CDD, puis en CDI quelques mois plus tard. J’avais alors 57 ans ! »
Un métier ouvert à tous et à toutes
Embauchée comme conductrice d’installation, Barbara ne perd pas de vue son objectif : intégrer le service logistique de l’entreprise. « Je voulais devenir cariste et je suis restée déterminée. » Un trait de caractère qu’elle partage avec Linda ! « Une première place s’est libérée mais une autre collaboratrice s’était déjà positionnée. Avec onze ans d’ancienneté, c’était logique qu’elle soit prioritaire. » La patience de Barbara finit par payer : « Un autre poste s’est ouvert sept mois après mon arrivée et j’ai été retenue. J’ai signé mon CDI dans la foulée ! »
La transition s’est déroulée sans accroc grâce à un accompagnement dédié et à l’adaptabilité de Barbara. « Il est certain que j’avais des facilités liées à mon ancien métier. Je conduisais déjà des tracteurs et des camions depuis des années. Avoir son Caces ne suffit pas, il faut être rapide et précis pour ne rien casser et déplacer les palettes correctement. »
Reste que le métier de cariste est, selon elle, accessible à tous. « Il faut être mobile mais on ne porte pas les palettes à la main ! J’espère même continuer au-delà de l’âge de la retraite si mon état de santé le permet. »
« Aujourd’hui j’ai du temps pour les loisirs »
Barbara ne tarit pas d’éloges sur son employeur. « J’aime tout : l’environnement, les missions, la façon de travailler. Nos managers nous laissent beaucoup d’autonomie, ils nous font confiance et sont toujours disponibles pour répondre à nos questions. » Le rythme aussi lui convient parfaitement. « Je travaille de 5h15 à 13h15 ou de 13h15 à 21h15. Je préfère ça à des horaires de bureau car je suis libre le matin ou l’après-midi. Si j’avais su, j’aurais cessé mon activité équestre plus tôt pour venir ici ! On travaillait tous les mercredis et les week-ends pour emmener les élèves en compétition. Si ma fille n’avait pas aimé le cheval, je ne l’aurais pas vu beaucoup. Aujourd’hui j’ai du temps pour les loisirs et pour faire de la moto ! »


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