Ces profils de collègues (un peu) énervants quand ils rentrent de vacances !

À l’approche de septembre, votre espace de travail se remplit chaque jour un peu plus et l’impression de calme que dégage l’entreprise en été s’estompe peu à peu. Vos collègues vacanciers sont de retour après quelques semaines de congés. Et que vous soyez parti un peu ou pas du tout, avouez-le, certains sont énervants. Vous avez forcément croisé l’un de ses profils au cours de votre vie professionnelle ou vous reconnaîtrez peut-être dans l’un d’eux. 

Celui qui a passé des vacances de rêve et a vraiment déconnecté pendant 3 semaines

Il sent encore la crème solaire et le monoï. Physiquement, il est souvent méconnaissable car très bronzé. Ce qui est vraiment énervant ? Il fait des blagues sur le fait d’avoir failli louper l’arrêt de bus du travail ou de ne plus se rappeler son mot de passe. Car oui, il avait opté pour trois semaines de vacances cette année et son choix de destination était « idéale pour déconnecter ». En général, il est parti sur une île, sans réseau wifi à proximité. Sa réplique phare de rentrée ? « Je me sens encore en vacances, ça fait drôle d’être là ! » D’ailleurs, il est encore plongé dans les photos de son séjour et les montre à tout le service !  

Celui qui est beaucoup trop énergique

Ses vacances lui ont donné un coup de fouet. Il est plein d'entrain et son retour fait l'effet d'une tornade à toute l'équipe. Il a envie de « renouveau » alors il lance plein de nouvelles idées en réunion, si bien que plus personne n'arrive à le suivre, et toute l'équipe finit par regretter le calme qui régnait quand il était absent.

Celui qui s’est transformé en guide touristique de la région qu’il vient de découvrir

Il a véritablement eu un « coup de cœur pour ce coin de paradis » et il a envie de convaincre tous ses collègues que c’est LA destination à ne pas manquer. Et tous les adjectifs sont bons pour vous persuader. Il passe donc ses journées à recommander telle crique « déserte », tel bistrot « typique » ou tel circuit de randonnée « aux points de vue vertigineux ». Il cite même des noms de villes du coin que personne ne connaît : « Plogoff c’est un bijou. » On ne sait pas s’il touche une commission sur un prochain séjour, mais en tout cas, il veut absolument vous donner envie de réserver là-bas. D’ailleurs, devant votre intérêt, il vous glisse avec un air complice : « Surtout, n’hésites pas si tu as besoin, je pourrais te faire une liste de bons plans à connaître ! Il y a vraiment des attrapes touristes qu’on peut facilement éviter ! »  

Celui qui est déprimé d’être rentré (et qui donne le bourdon à tout le monde)

À peine a-t-il franchi la porte du bureau qu’il a poussé un soupir de lassitude. Il n’est pas du tout content d’être là et il a envie de le faire savoir. Il râle parce que son ordinateur met du temps à s’allumer et s’agace déjà devant l’agenda des semaines à venir. Quand vous tentez une approche, du type « ça va tu as passé de bonnes vacances  ? » Il vous lance un regard noir et une réponse laconique : « Excellentes, si ça ne tenait qu’à moi, je ne serais jamais rentré ». Laissez-le se détendre. Une fois la première semaine passée, il devrait se dérider.  

Celui qui a passé des vacances pourries

Il revient énervé, cerné et peu bronzé. Il s’est disputé au choix, avec son ou sa conjointe, ses enfants, ses amis ou sa famille. Et, cerise sur le gâteau, il a eu une météo pourrie. Quand on lui pose des questions sur ses vacances, il préfère vous retourner la question. Point positif : il a l’air content de reprendre le travail même s’il est un peu sur les nerfs et qu’il a l’air plus fatigué que quand il est parti !  

Celui qui repart en septembre

Il a déjà la mine hâlée car il est parti « quelques jours par ci par là » mais il aime rappeler que « ses vraies vacances commencent dans 15 jours » ! En plus, comme il part hors saison, il a réussi à avoir un super hôtel deux fois moins cher qu’en plein mois d’août, avec chambre vue sur mer et formule all inclusive ! Il aime bien aussi se projeter : « Quand je reviendrais c’est vrai que la rentrée sera déjà bien entamée…on sera presque en octobre c’est fou, non ? » Grrr  

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