Métiers de la paie et de la comptabilité : et si vous deveniez formateur ?
C’est le choix qu’a fait Sylvie en rejoignant l’éditeur de logiciels ACD Groupe. Et elle ne le regrette pas !

« La grande différence entre mon métier actuel et l’ancien, c’est que je n’ai plus de pression ! pointe Sylvie Marc, formatrice chez ACD Groupe depuis quatre ans. Quand j’étais gestionnaire de paie, je devais régulièrement travailler le soir et le week-end pour clôturer les dossiers à temps. Maintenant, je termine mes journées à 17h ! » Ça donne envie d’en savoir plus, non ?
« Mes enfants auraient voulu m’avoir comme instit’ »
Certaines vocations se révèlent sur le tard, même si les signes étaient là : « J’adore aider les autres et transmettre mes connaissances, explique Sylvie. A tel point que mes enfants auraient voulu m’avoir comme instit’ ! »
Les différents postes qu’elle occupe dans une entreprise de transport n’ont pourtant rien à voir avec l’enseignement. Au bout de vingt ans, elle décide de quitter son job de gestionnaire de stocks. « Je n’appréciais plus les relations humaines en interne, et mes tâches devenaient monotones », relate-t-elle.
« Je ne savais même pas que ce poste existait ! »
A l’aube de ses 40 ans, Sylvie n’hésite pas à entamer une reconversion professionnelle pour devenir gestionnaire de paie. « J’ai fait un BTS Assistant de gestion puis une licence Paie à l’IUT de Marseille. J’ai ensuite enchaîné les CDD pendant quelques mois. Un jour, une agence d’intérim m’a contactée pour me proposer de devenir assistante / formatrice dans la paie. Je ne savais même pas que ça existait ! »
Son interlocuteur lui explique que ce métier consiste à conseiller, accompagner et former les utilisateurs de l’un des logiciels édités par ACD Groupe, au téléphone et sur le terrain. Il lui précise qu’il implique des déplacements au niveau national. « Ce qui ne me posait aucun problème », explique Sylvie. Conviée à un entretien d’embauche, elle en apprend plus sur ACD, sa culture d’entreprise et les missions qui l’attendent. « On nous a aussi posé des questions pour s’assurer qu’on était vraiment intéressés par le job. »
« Il faut être bienveillant, à l’écoute et patient »
Elle passe ensuite un court test à l’écrit pour valider qu’elle possède les bases de la paie, puis un autre à l’oral. « Le but est de jauger votre savoir-être en tant qu’assistante/formatrice. Il faut être bienveillant, à l’écoute et patient. Quelqu’un qui change de logiciel peut se sentir frustré et anxieux. A nous de lui apporter des réponses et de la sérénité ! Même si je n’y connaissais rien, je me suis tout de suite imprégnée du métier. Je ne suis pas timide et j’aime le jeu de rôle, ça m’a sans doute aidée. Même si on dit des bêtises, ce n’est pas grave à cette étape ! On va juste regarder comment vous vous comportez, si vous avez confiance en vous quand vous affirmez quelque chose. »
S’ensuit un dernier entretien, « plus personnel, car on cherche à connaître nos objectifs sur le long terme. On rentre également plus dans le cœur du métier pour savoir si ça nous plaît vraiment. Il ne faut pas oublier qu’on exerçait un autre job avant, les recruteurs veulent s’assurer qu’on n’est pas là juste pour un temps ! »
« Tout le monde avait le sourire à mon arrivée »
Embauchée en CDI en mars 2019, Sylvie est accueillie à bras ouverts pas sa nouvelle équipe, qui compte une dizaine de personnes. « Tout le monde avait le sourire. Ça collait avec la bienveillance que j’avais ressentie durant les entretiens. On m’a vite intégrée dans le groupe, l’ambiance était décontractée, familiale, et les gens très altruistes. A partir du moment où vous mettez les pieds dans l’entreprise, vous n’êtes plus jamais seul ! »
Elle illustre son propos par un exemple concret : « La semaine dernière, on était tous un peu fatigués. On a fait les guignols et c’est parti en fou rire. Ça nous a reboostés ! »
Si elle travaille en en open-space, « les salles sont tellement vastes qu’on ne se gêne pas les uns les autres. Les locaux sont spacieux, avec de belles plantes. Et la cafétéria est très conviviale ! »
« On ne nous met pas la pression ! »
Toutes les prises de postes débutent par la découverte du logiciel de paie (ou de comptabilité si c’est votre domaine d’expertise). « On apprend à se servir de DiaPaie pendant quelques semaines, avec des exercices pratiques pour valider nos acquis. C’est assez sportif car il y a beaucoup d’informations à intégrer. Mais il y a toujours quelqu’un pour nous aider quand on a des questions, on se sent vraiment en confiance. »
Place ensuite à la pratique ! « On commence par l’assistance téléphonique, en double écoute avec un collègue expérimenté pour savoir quoi dire et quoi faire en situation réelle. On peut aussi avoir un tuteur attitré. Tout est fait pour nous mettre à l’aise. » D’autant que la cadence n’a rien à voir avec celle d’un centre d’appels. « On ne nous met pas la pression ! ».
Sylvie est depuis passée de l’autre côté du miroir. « Il ne faut pas hésiter à demander de l’aide en interne. Vous ne saurez pas tout au bout de quelques semaines ! »
« Quand on aime son métier, on n’a pas l’impression de travailler ! »
« Il faut d’ailleurs une validation pour passer à la formation en présentiel, poursuit Sylvie. Parce que si vous ne connaissez pas le logiciel sur le bout des doigts, vous aurez du mal à aider le client. Personnellement, ça m’a pris deux ans, mais certains deviennent formateurs plus tôt. Chacun évolue à son rythme ! Même quand on a de l’ancienneté, on continue d'être accompagné dans notre montée en compétences et à bénéficier de formations en interne. »
Sylvie adore les déplacements inhérents à son métier. « Il y a quelques jours, j’étais en formation à Marseille, demain je serai peut-être à Lyon, à Paris… ou en Corse ! J’y reste entre deux et trois jours selon les cas. J’ai toujours l’impression de partir en vacances. Quand on aime son métier, on n’a pas l’impression de travailler ! »
Pour autant, l’assistante/formatrice n’est pas toujours sur les routes. « Ça dépend des périodes. En général, on se déplace très peu en début d’année, car nos clients sont en plein bilan comptable. Quand je suis au bureau, je fais de l’assistance, des tests sur le logiciel, des mises à jour sur les documents interne et je forme les nouveaux collaborateurs. Les missions sont très variées, on ne s’ennuie jamais ! »
Crédit photo : ACD Groupe/HelloWork


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