Changer d’horizon pro sans changer d'entreprise : c'est possible chez Assystem !

Vous pensez qu’il faut forcément changer d’employeur pour évoluer, changer de métier ou vous expatrier ? Voici deux témoignages qui vous démontreront qu’on peut tout à fait vivre plusieurs vies pros dans la même entreprise. Pour peu qu’on choisisse la bonne !

• Ingénieur Projet - Alternance H/F

  Tours - 37

  Alternance

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  il y a 18 heures
• Consultant en Gestion de Projet - Pmo H/F

  Salives - 21

  CDI

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  il y a 4 heures
• Ingénieur Commercial - Alternance H/F

  Tours - 37

  Alternance

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  il y a 18 heures
• Responsable de Lots H/F

  Saint-Paul-lès-Durance - 13

  CDI

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• Ingénieur AMOE Contrôle Commande H/F

  Bordeaux - 33

  CDI

  🏡 Télétravail partiel

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  il y a 13 heures

Victor Richet : « On ne peut pas vivre comme un Parisien à New Delhi »

Son diplôme d’ingénieur en poche, Victor Richet s’est d’abord envolé pour la Pologne dans le cadre d’un volontariat international de deux ans. « Je travaillais pour l’ambassade de France de Varsovie dans le domaine du nucléaire », retrace-t-il. A son retour en France il y a six ans, il décide de rejoindre Assystem, l’un des leaders mondiaux de la transition énergétique.

« Au sein de la direction technique, j’ai occupé diverses fonctions sur des sujets transverses liés à la mise en place de méthodes et d’outils d’ingénierie. J’ai notamment eu l’occasion d’effectuer une première mobilité professionnelle entre Paris et Saint-Pierre-des-Corps en tant qu’architecte système sur le projet EPR 2. Un déplacement certes moins dépaysant que celui qu’on m’a proposé ensuite ! »

De St-Pierre-des-Corps à New Delhi

Victor fait partie du Graduate Program d’Assystem, un parcours d’intégration et de formation international destiné aux jeunes diplômés ou aux profils juniors à haut potentiel. Le programme comprend trois rotations, dont une à l’étranger, destinées à leur faire découvrir différentes fonctions au sein du groupe. « Quand on m’a proposé les différentes destinations possibles, j’ai choisi de me rendre en Inde, à New Delhi, car la mission me paraissait intéressante et pertinente par rapport à mon parcours. »

Un challenge de taille l’attendait sur place : « J’ai rejoint une nouvelle entité, Assystem STUP, en tant que directeur de la business unit digital. C’est un périmètre où il y avait tout à construire. Assystem n’avait aucune activité digitale dans le pays à mon arrivée, l’enjeu était important pour le groupe. Et puis je connaissais l’Amérique du Nord et l’Europe de l’Est, mais pas du tout l’Asie. J’étais curieux de découvrir l’Inde ! »

©Singh Ramana@stock.adobe.com

Choc culturel et urgence climatique

À son arrivée, Victor a bien sûr été accompagné par Assystem dans la recherche d’un logement, d’une assurance, d’un moyen de transport, etc. Tout n’a pas été simple pour autant : « La moindre démarche est complexe, tout prend du temps. Le niveau de vie est aussi très différent, il faut faire des compromis et accepter un certain inconfort. On ne peut pas vivre comme un Parisien à New Delhi ! »

Si les chocs culturels sont nombreux, c’est la pollution qui a le plus interpellé Victor. « À titre personnel, j’ai choisi le nucléaire par intérêt pour la transition énergétique. Quand on vit à New Delhi, il suffit de sortir dans la rue pour comprendre l’urgence environnementale ! »

Management à l’indienne et enrichissement professionnel

Victor a aussi dû relever de multiples défis côté pro. « J’ai débarqué avec énormément d’idées et beaucoup d’objectifs. Je n’en ai réalisé aucun et j’ai abandonné toutes mes idées ! J’en ai de meilleures aujourd’hui. C’est très formateur d’être sur un périmètre en construction dans un pays qui n’obéit pas à un cadre européen. »

Des différences culturelles qui impactent aussi les pratiques managériales : « Le cœur de métier technique est le même, mais le mode de management des équipes n’a rien à voir. En France, on a tendance à fixer des objectifs généraux et à laisser les collaborateurs les atteindre en autonomie. Ici, on est davantage sur du micro-management. Ces différences m’enrichissent et j’essaie vraiment de me garder de tout ethnocentrisme. Chaque modèle a ses forces et ses faiblesses. »

« Assystem est une entreprise qui fait confiance à ses collaborateurs »

Malgré les obstacles et les remises en question, Victor mesure aujourd’hui sa chance : « Je remercie le groupe Assystem de m’avoir offert cette opportunité il y a dix mois. C’est quand même une grosse responsabilité de créer une activité de A à Z à mon âge ! Assystem est une entreprise qui fait confiance à ses collaborateurs, même s’ils n’ont pas beaucoup d’ancienneté ou si leur parcours n’est pas 100% linéaire. »

Adeline Gru : « J’ai changé de poste, de filière et de périmètre ! »

Du recrutement au pilotage d’activités dans le nucléaire

Adeline Gru n’a pas toujours occupé un poste à responsabilités chez Assystem. Sa première activité pro n’avait même rien à voir avec le nucléaire : « Après un Master orienté économie/RH, j’ai été embauchée par un gros cabinet de recrutement situé à Paris, se remémore Adeline. Une vraie école de guerre ! Cette expérience, qui a duré environ deux ans, a été rude mais formatrice.  J’ai ensuite rebondi dans un autre cabinet, ce qui m’a permis de gagner en maturité. Mais j’étais en quête de sens. »

L’un de ses contacts lui parle un jour d’une opportunité chez Assystem. « Je me suis dit ‘pourquoi pas’ et j’ai pris mes fonctions dans une toute nouvelle entité dédiée au transport ferroviaire en 2017. On partait d’une page blanche, c’est ce qui m’a séduite. Commencer par le recrutement m’a permis de m’imprégner du secteur, de bien comprendre les différents métiers. J’ai ensuite basculé sur du développement commercial tout naturellement. L’équipe a grossi au fil du temps et j’ai peu à peu endossé une casquette de manager. On est en effet passé d’un à 70 collaborateurs en cinq ans ! »

Des parcours de formation et du mentorat

Cette transition professionnelle n’aurait sans doute pas été aussi fluide sans un accompagnement sur-mesure. « J’ai suivi de nombreuses formations en interne, confirme Adeline. Dans beaucoup d’entreprises, on veut que les personnes soient tout de suite opérationnelles et prennent plus de responsabilités rapidement. Mais pour se sentir bien dans son poste et en confiance, il faut laisser du temps aux gens ! Assystem est une entreprise qui se cale au rythme de chacun. »

Adeline a aussi eu l’opportunité de bénéficier de l’accompagnement du programme Incredible Women. Il a pour objectifs de sensibiliser, recruter, fidéliser et faire évoluer les femmes dans leur carrière chez Assystem. « J’ai été mentorée par une personne de la direction évoluant dans le secteur nucléaire, donc hors de tout lien hiérarchique, à l’époque. Ce binôme a été très inspirant, ça m’a donné confiance en moi et en mes capacités. J’ai pu lever certains doutes et glaner de précieux conseils auprès de mon mentor. Nos échanges ont ouvert mes horizons ! »

Des perspectives pros qu’Adeline a mis temporairement de côté pour vivre une autre grande aventure : la maternité. « Alors que j’étais à quelques mois de mon accouchement, Assystem m’a proposé de rejoindre sa filière nucléaire en tant que responsable d’activités dès mon retour ! Mes managers avaient sans doute senti qu’il me fallait d’autre perspectives et ils ont devancé mes besoins. »

© EDF Médiathèque - Alexis MORIN

« Je ne crains pas d’être moi-même chez Assystem »

À son retour de congé maternité, en septembre dernier, Adeline a profité d’un parcours de réintégration spécifique aux jeunes parents. « J’ai changé de métier, de filière et de périmètre. Qui plus est avec des responsabilités beaucoup plus importantes qu’avant. Ce serait hypocrite de dire que tout a été facile. Mais je pense que si j’avais été dans une entreprise moins vigilante et bienveillante, ça ne se serait pas aussi bien passé ! »

Grâce à l’accompagnement d’Assystem et à diverses formations techniques, Adeline prend ses marques dans ses nouvelles fonctions. « Le matin, je me rends au travail avec le sourire. Je ne crains pas d’être moi-même et j’ai retrouvé un bon équilibre de vie. Depuis que j’ai un enfant, je suis encore plus engagée chez Assystem. J’ai envie de contribuer à un avenir plus vert grâce au nucléaire et aux énergies renouvelables. »

« En tant que femme, on se met peut-être plus de barrières que les hommes, conclut Adeline. Mon conseil est de se laisser porter, de s’ouvrir aux autres, de prendre le temps nécessaire… et surtout de suivre son instinct ! Il suffit parfois d’une rencontre, d’un échange pour changer sa vision des choses. » Un conseil qui s’applique à tous !

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Visuel de couverture + photos de Victor Richet et Adeline Gru : ©Assystem