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Quentin, mécanicien avion : « J’ai rejoint l’armée de l’Air et de l’Espace pour vivre pleinement ma passion ! »

Par Celia Riguidel Publié le • Sponsorisé par Armée de l'Air et de l'Espace

Plus de 1 000 postes de maintenance à pouvoir dans l’armée de l’Air et de l’Espace.

Quentin, mécanicien avion : « J’ai rejoint l’armée de l’Air et de l’Espace pour vivre pleinement ma passion ! »
Quentin devant l'avion de transport militaire A400M © Lionel Le Baron / armée de l'Air et de l'Espace

« Voir un avion voler dans le ciel m’a toujours fasciné. J’adorais passer à côté d’un aéroport et assister à des meetings aériens quand j’étais petit. Je voulais faire carrière dans ce domaine ! » Un rêve partagé par de nombreux enfants, mais qui ne se concrétise pas toujours à l’âge adulte.

Sauf quand il s’agit, comme pour Quentin, d’une vraie vocation. « Comme j’aimais la partie technique, j’ai choisi de devenir mécanicien avion. J’ai rejoint l’armée de l’Air et de l’Espace pour pouvoir vivre pleinement ma passion. »

Une vocation, plusieurs voies d’entrée

Quentin a intégré l’école d’enseignement technique de l’armée de l’Air et de l’Espace, située à Saintes (Charente-Maritime), en 2010. Entré en classe de première, il y reste jusqu’à l’obtention d’un bac STI génie électronique. « J’ai ensuite signé un contrat d’engagement de cinq ans et intégré l’école de formation des sous-officiers, à Rochefort. Un an plus tard, j’ai pu choisir ma base d’affectation en fonction de mon classement. »

La voie suivie par Quentin n’est aujourd’hui plus la seule : « Certaines personnes passent par un BTS aéronautique, qui peut être réalisé à Rochefort. D’autres signent un contrat d’engagement en alternance. Après avoir suivi une formation militaire, puis validé la spécialité mécanicien avion, les alternants sont déployés sur les bases pour des périodes d’immersion en unité. »

Le lycée militaire fréquenté par Quentin propose aussi un bac pro aéronautique. « Les élèves qui sont inscrits dans cette filière réalisent des stages en unité pour apprendre les bases du métier. Après six mois de formation à Rochefort, ils sont mutés sur les bases aériennes. »  

Des avions « à la pointe de la technologie »

Quentin a été affecté sur sa première base aérienne en octobre 2013. « J’ai réparé et entretenu des avions de chasse pendant neuf ans, avant de basculer sur l’aviation de transport à Orléans. »

Son travail est peu ou prou le même que dans le civil : « Les gestes techniques sont les mêmes, tout comme les normes de qualité et l’environnement dans lequel on évolue. » A quelques différences près : « Le cockpit d’un avion de chasse ne ressemble pas du tout à celui d’un avion de ligne ! »

L’A400M sur lequel travaille actuellement Quentin a aussi un look bien à lui. Surnommé le « géant gris » par les soldats, ce fleuron du transport militaire (qui appartient à la famille Airbus) assure des missions qu’on retrouve uniquement dans l’armée : transport de fret et de passagers militaires, largage de parachutistes sur les théâtres d’opération… « On l’utilise aussi pour du fret logistique, notamment pour porter secours à des populations en cas de catastrophe naturelle. »

Sa taille impressionnante n’est pas son seul signe distinctif. « En plus d’être équipé d’un arsenal de défense, c’est un avion à la pointe de la technologie », précise Quentin.

© Lionel Le Baron / armée de l'Air et de l'Espace

Des missions en France et à l’international

La principale différence avec le civil n’est pourtant pas là : « Ce qui change, c’est que nous sommes amenés à partir en mission sur des théâtres d’opération. Comme dans le cadre de l’opération Chammal* par exemple. On s’est aussi déplacé en Nouvelle-Calédonie, lors de la récente crise, et à Mayotte après le passage du cyclone Chido. Nous sommes formés et avons le matériel pour intervenir sur place. »

Reste que les conditions d’intervention ne sont pas toujours simples. « Le principal défi est humain. Les effectifs et moyens matériels sont plus réduits lorsque nous intervenons en mission que si nous étions sur une base aérienne, avec tous les moyens à portée de main. » L’organisation est la clé pour assurer la mission coûte que coûte. Ce qui n’est pas pour déplaire à Quentin : « Chaque jour est différent, c’est ce qui me plaît le plus dans l’armée de l’Air et de l’Espace. Quand on travaille sur avion, on apprend tous les jours de nouvelles choses. J’aime aussi découvrir des lieux qu’on n’aurait pas l’occasion de visiter dans le civil. C’est très enrichissant ! »

Un quotidien zéro routine

En France, en plus de son rôle de chef d’atelier, Quentin est chargé avec ses équipes de la remise en œuvre des avions utilisés au profit des missions et des entraînements.

Sa journée-type ? « J’embauche à 8h pour le briefing d’équipe. On se dispatche les chantiers en fonction des spécialités de chacun, puis on travaille jusqu’à la fin du service à 17h. »  Du moins, quand il n’est pas de permanence. « On tourne une semaine sur deux. L’équipe du matin travaille de 3h du matin à 15h, puis celle du soir prend le relais. » Cette permanence vise à assurer les départs et retours des A400M sans interruption, comme dans un aéroport civil. « Il faut remettre du carburant, faire les niveaux d’huile, etc. »

Et quand le mécanicien part en mission extérieure ? « On agit selon les besoins sur place, il n’y a pas d’heure fixe. » Quentin peut heureusement compter sur le soutien sans faille de ses collègues. « Il y a une très bonne cohésion, c’est ce qui nous permet d’accomplir nos missions sans accroc ! »

L’armée n’est pas pour tout le monde, Quentin en convient. « Il faut avoir l’esprit d’équipe, le sens du service et une certaine rigueur. Mais aussi respecter l’autre. Sans ces qualités, on ne peut pas avancer ensemble ! »

© Lionel Le Baron / armée de l'Air et de l'Espace

Des évolutions régulières

L’armée de l’Air et de l’Espace offre la possibilité aux aviateurs d’évoluer tout au long de leur carrière. Le parcours de Quentin en est la parfaite illustration : « Depuis mon affectation sur Orléans en 2021, j’ai passé mes qualifications pour devenir chef d’équipe. Pour l’A400M, la formation s’étale sur trois mois et demi en Allemagne. Il y a plusieurs tests théoriques et pratiques à passer pour obtenir la qualification. »

Les formations suivies par Quentin lui ont permis de monter en compétences et de gagner en responsabilités. « L’armée de l’Air et de l’Espace a tout mis en œuvre pour que je puisse évoluer dans les meilleures conditions. Ça s’est fait naturellement. »

A seulement 31 ans, Quentin a déjà vécu mille vies dans l’armée de l’Air et de l’Espace. Son souvenir le plus marquant ? « J’ai récemment été déployé à Nouméa, en Nouvelle-Calédonie. On était posté en position d’alerte pour un soutien logistique et humain. C’était très intéressant sur le plan professionnel. Le cadre était aussi plutôt agréable ! »

Prêt à faire décoller votre carrière ?

Le témoignage de Quentin vous inspire ? L’armée de l’Air et de l’Espace recrute près de 4 000 nouvelles recrues par an. Et ce, dans de nombreux domaines d’activités. « Les métiers de la maintenance représentent le tiers de nos recrutements. Il y besoin de sept spécialités de mécanicien pour faire décoller nos avions », précise la capitaine Jennifer, responsable marketing RH.

Ces opportunités sont accessibles quel que soit votre niveau scolaire, « que vous ayez le bac ou non ». « Grâce à l’armée de l’Air et de l’Espace, vous pourrez évoluer dans le domaine qui vous plaît et découvrir le monde ! », appuie Quentin.

 

* L'opération Chammal est le nom donné à partir du 20 septembre 2014 à la participation des forces armées françaises, au sein de la coalition contre l'État islamique, aux guerres d'Irak et de Syrie. Le chammal est un vent du nord qui souffle en Irak.

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