Jeunes diplômés : avez-vous déjà pensé à travailler dans le conseil ou l’audit ?

« Ce qui m’a attiré dans le métier de consultant, c’est l’absence de routine, explique Marie Dotto, consultante senior chez Mazars. On passe du secteur de l’énergie à l’agroalimentaire, puis au service public, avec des missions toujours très différentes. Il faut réapprendre son métier à chaque fois ! »

En plus d’être très formateurs, les métiers du conseil et de l’audit offrent des salaires compétitifs et des perspectives de carrière alléchantes. Autre avantage de taille : ils sont ouverts aux débutants ! C’était le cas de Marie Dotto quand elle a rejoint l’équipe Transformation de la fonction finance de Mazars pour son stage de fin d’études. « On pourrait se dire qu’il faut forcément être un expert en finance pour accompagner les clients sur ce type de sujet. Alors que ce n’est pas toujours nécessaire ! Je n’avais, pour ma part, pas de spécialisation dans la finance, mais une forte appétence pour ce domaine découvert lors de stages en contrôle de gestion. »

Une intégration réussie et des collègues attentifs

Alors en école de commerce à Grenoble, Marie débute son stage en avril 2021, « en pleine période ‘Covid’ ! L’intégration s’est donc faite principalement à distance. » Un contexte particulier qui l’a un peu inquiétée au départ : « Est-ce que je vais pouvoir nouer des liens avec mon équipe ? Est-ce qu’on va me donner des choses à faire ? J’ai vite été rassurée car tout s’est très bien passé. J’ai pu me familiariser avec le job et l’entreprise grâce à des travaux en interne, comme la rédaction de propositions commerciales ou des missions de benchmark d’outil. »

Quant à l’aspect relationnel, « l’équipe avait déjà l’habitude de faire des réunions en visio, explique Marie. Elle a aussi été accompagnée par un parrain tout au long de l’année. « C’est quelqu’un de plus expérimenté qui est là pour répondre à nos questions et faciliter notre montée en compétences. »

Une découverte du métier en douceur

Le rôle de l’équipe Transformation de la fonction finance ? « On accompagne les changements qui touchent la direction financière de tous types d’organisations, tant dans le secteur privé que public. Ça peut concerner une amélioration de process, un projet de réorganisation ou l’implémentation d’un nouvel outil de pilotage de la performance, par exemple », détaille Marie.

Chaque projet se déroule en plusieurs étapes. « Le client commence par nous expliquer son besoin, on rédige ensuite la proposition commerciale puis on présente la démarche à adopter lors d’un atelier à l’oral. En tant que stagiaire, je travaillais directement avec des consultants seniors ou des managers pour monter les dossiers. Ça permet de découvrir le métier en douceur ! »

Dès son arrivée, Marie a participé à une mission d’envergure qui s’est étalée sur un an et demi. « C’était pour un grand groupe dont les équipes comptables étaient disséminées un peu partout en France. L’entreprise a décidé de regrouper tout le monde au sein de la même entité et d’harmoniser les processus en interne. Nous avons accompagné, à la fois, les équipes comptables et paie du groupe. Pour ce projet, nous avons travaillé de concert avec l’équipe Mazars dédiée aux fonctions RH et l’équipe conduite du changement, dont le rôle est d’aider les collaborateurs à s’adapter à la nouvelle organisation. »

Si les missions sont parfois plus courtes, celle-ci a permis à Marie de monter rapidement en compétences au contact des autres équipes du cabinet. Elle a eu un autre avantage : « Comme je travaillais encore sur ce projet quand j’ai signé mon CDI, la transition a été très fluide du poste de stagiaire à celui de consultante junior ! » Son embauche est loin d’être une exception, car 70% des stagiaires de Mazars sont recrutés en CDI après l’obtention de leur diplôme.

De consultante junior à senior en seulement deux ans

Suite à cette première mission, Marie a pu découvrir bien d’autres sujets liés à la finance. « Je travaille actuellement sur deux missions en parallèle. La première a démarré en janvier, l’autre en septembre 2023. Elles concernent toutes les deux la mise en place de processus de facturation électronique. »

Préparation des ateliers clients, suivi des missions, production de comptes-rendus… Ses tâches ont évolué à mesure qu’elle gagnait en autonomie. « Je suis passée senior en septembre dernier, soit seulement deux ans après mon embauche en CDI. Depuis, je prends davantage la parole lors des ateliers, il m’arrive même d’en animer seule. Chez Mazars on nous fait rapidement confiance, c’est hyper appréciable ! »

La consultante est toujours aussi passionnée par son métier. « Ça correspond tout à fait à ce que je voulais faire. Ce n’est pas pour rien que je suis toujours consultante après deux ans et demi. J’ai encore tellement de choses à apprendre ! Même si les missions peuvent être prenantes, l’équipe est vraiment géniale. On est soutenus par le management et tout le monde est bienveillant, ce qui crée un cadre de travail optimal pour être épanoui à son poste. »

Plus de 1400 postes à pourvoir chez Mazars

« On prévoie de recruter 550 stagiaires et près de 900 profils juniors en alternance et en CDI, dans une quarantaine de bureaux en France », annonce Manon Manzanares, responsable de la marque employeur de Mazars. Ces postes sont majoritairement ouverts aux jeunes diplômés d’un bac +4/5 (école de commerce, école d’ingénieurs ou universités).

En tant que leader international de l’audit, de la fiscalité et du conseil, Mazars offre de belles perspectives de carrière dans ses trois domaines d’expertise historique, mais aussi dans l’IT. « Il y a une revue de performance tous les ans, ce qui permet à nos consultants de monter en grade rapidement. Ils ont l’opportunité de passer manager au bout de quatre ou cinq ans en moyenne, et ils encadrent des équipes dès leur seconde année au sein du cabinet. »

« A partir de 2024, les grands groupes devront obligatoirement faire analyser leurs données extra-financières, poursuit Manon. Leurs politiques d’achat et RSE devront, par exemple, être mises en place par les consultants ou auditées. » Traduction : vous ne risquez pas de manquer de travail si vous rejoignez Mazars !

Avis aux détectives dans l’âme !

Si la campagne d’alternance de Mazars est lancée de janvier à avril, les stagiaires « sont, quant à eux, intégrés au fil de l’eau ». Les consultants juniors sont, pour leur part, majoritairement embauchés en amont de deux temps forts. « On organise des séminaires d’intégration en septembre et décembre, qui réunissent entre 300 et 500 personnes dans un lieu d’exception. Suite à cette semaine d’acculturation, les consultants juniors suivent une formation de deux semaines pour apprendre le métier, les techniques, les process et les outils utilisés chez Mazars. »

Au-delà des compétences métier, « l’important est d’être curieux, ouvert d’esprit, d’avoir l’esprit d’équipe, une appétence pour le digital et un bon sens du relationnel, résume Manon. Il faut aussi avoir l’envie de creuser, de chercher des informations pour accompagner nos clients sur des problématiques transverses. Un peu comme un détective ! »

Vous vous reconnaissez dans ce portrait ?

Postulez chez Mazars !

Crédit photo : HelloWork/Mazars