Max Digital Services : le confinement a renforcé les liens entre les Max, boosté leur créativité, et affirmé la confiance des partenaires !

Chez Max Digital Services, ESN reconnue du paysage rennais et dont l’organisation collaborative et libérée a fait les beaux jours dès sa création, la crise sanitaire a bousculé le quotidien des équipes. « Passé le cap des premiers jours, avec son lot d’angoisses et d’inquiétudes, notamment face à des fins de missions nombreuses, on s’est ressaisis tous ensemble, portés par Matthieu et Anthony, les fondateurs », raconte Frédérique Meingan, MAX Happiness Officer. Travail de pédagogie et d’explications pour rassurer les clients, recherche de solutions et compromis, etc... « Nous voulions montrer que notre agilité et notre efficacité ne changeraient pas, et que nous allions nous adapter rapidement à la situation de confinement puisque la culture du home office et de la flexibilité faisait déjà partie intégrante de notre ADN. Nombreux sont nos partenaires qui nous ont fait confiance et ont maintenu nos collaborations malgré la crise. On a été très touchés de cette solidarité et sommes fiers des relations que nous avons construites dans le temps avec chacun d’entre eux ».

Une communication qui ne s’est jamais interrompue et un temps libre mis à profit pour le groupe

Qu’ils soient en mission ou en chômage partiel, le confinement n’a en rien changé des liens déjà très forts entre les Max, qui continuent de communiquer toujours autant, voire davantage pour pallier la distance physique. Les calls techniques se poursuivent et les initiatives nouvelles fleurissent. Chacun investit son temps « libre » et mets ses compétences à profit pour relancer des projets internes qui amélioreraient la vie chez Max : développement ou amélioration de nouveaux outils, refonte du site, création d’une Time line pour représenter visuellement les missions et les compétences des Max dans le temps, etc...

Le ralentissement de l’activité est aussi l’occasion pour les Max de (re)découvrir le travail de prospection, en allant à la rencontre (virtuelle bien entendu !) de nouveaux clients. De nouvelles collaborations enthousiasmantes devraient voir le jour prochainement, et notamment avec des acteurs de la lutte contre le Covid-19. « C’est une période qui a finalement du bon, qui nous a poussés à aller de l’avant, à positiver et construire l’avenir de Max Digital Services », confie Frédérique.

Un confinement qui révèle des points de progression

Cette période inédite de confinement a aussi mis en lumière certaines limites et donné des idées de progression pour la suite. Ainsi, l’ESN va diversifier ses activités, en allant notamment sur le terrain de la formation. « Le partage de connaissances fait déjà partie des valeurs de Max, et nos collaborateurs donnent déjà des cours en école par exemple. La crise sanitaire a donné un coup d’accélérateur à ce projet, et nous souhaitons aujourd’hui développer des modules à destination de nos partenaires et de leurs salariés ».  

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François, développeur encore en mission et créateur de la Max Radio, « continue à animer la boîte, à maintenir le moral des troupes d’une façon plus légère et décalée ! »

François est développeur, il poursuit sa mission à temps partiel, en télétravail. « J’ai de la chance de travailler pour un client qui continue une partie de son activité, je ne me plains pas ! Mais c’est difficile de trouver un rythme chez soi, avec les enfants à la maison. Il a fallu trouver des petits rituels et des moments pour chacun, afin de vivre ce confinement le plus « confortablement » possible », explique-t-il. Une logique d’adaptation qui s’est aussi appliquée avec les collègues. « On continue de discuter au quotidien, sur Slack notamment, et on a lancé des cafés conférences pour se tenir informés ».

Ça, c’est pour l’aspect pro. Côté plus « fun », François a lancé avec Lionel, un autre Max, une radio propre à MAXDS, et qui diffuse du contenu tous les matins à l’équipe. « On enregistre des chroniques décalées, on se partage tout un tas d’infos pour continuer à animer la boîte, à maintenir le moral des troupes d’une façon plus légère et décalée, comme on l’aurait fait en temps normal ! ». Si au départ Lionel était à l’animation et François au montage, désormais chaque Max peut prendre un créneau pour proposer un jeu, des playlists thématiques, des recettes de cuisine, des slams maison, etc... « Même les conjoints participent ! ».

Autre initiative née du confinement, de la part de François : une LAN ou plutôt WAN (car à distance) hebdomadaire où tous les Max qui le souhaitent peuvent se retrouver pour jouer en ligne. « On en est déjà à la quatrième édition ! Vous pouvez d’ailleurs retrouver notre dernier tournoi de Starcraft 2, commenté et retransmis en live sur Youtube ! ».

Plus globalement, François a une lecture très positive de la situation. « Je trouve cette période très intéressante. Il nous faut agir, ne pas tergiverser trop longtemps avant de faire les choses. J'ai pu lancer des initiatives, remettre des idées à l’ordre du jour, qu'on avait déjà eues mais que l’on n’avait pas mises en place avant, par manque de temps, par exemple ». Et si le télétravail à 100% n’est pas toujours évident, de même que la distance avec les collègues, « une fois bien installé chez moi, j’ai réussi à me focaliser sur certaines tâches de manière beaucoup plus efficace, car moins interrompu. J'ai même trouvé le temps de me mettre au streaming et maîtriser pas mal de nouveaux outils qui nous seront utiles par la suite », confie-t-il.

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Pour Jérémie, ce qui lui a plu dans cette nouvelle organisation, « c'est que cela n'a pas trop changé finalement ! »

Jérémie est développeur chez Max depuis quelques années. Il nous avait déjà raconté les coulisses de l’entreprise, et notamment des mêlées. Comme François, il travaille aujourd’hui à temps partiel. « Le confinement était attendu depuis plusieurs jours, ce n'était donc pas une surprise, et je dirais qu’il se passe relativement bien. Ma mission est passée aux 3/5ième, ce qui me laisse du temps personnel pour enrichir mes passions », explique-t-il. « Le plus dur au début c’est la solitude, ne plus voir ses collègues, ne plus pouvoir sortir en centre-ville. Mais en réalité, ce confinement m'a fait du bien et m’a permis de prendre du temps pour moi. Je me suis découvert un coté casanier et j'appréhende finalement plutôt le retour à la vie "normale" ».

En parallèle, Jérémie a pu participer aux nombreux projets qui ont vu le jour chez Max Digital Services dès le premier jour de confinement. « Au niveau professionnel, j'ai pu m'initier à un exercice plus commercial, dont je n'avais pas l'habitude, et cela m'a permis d'apprendre beaucoup sur les appels d'offre par exemple. J'ai également pu avancer sur les projets de formation que l'on souhaite dispenser chez Max. Nous mettons en place nos premiers supports, c'est une belle avancée de ce côté ! », se félicite-t-il. Sur son temps « libre », en plus d’écouter la Max Radio et de participer aux soirées gaming, Jérémie en profite même pour apprendre un nouveau langage, le Rust. « Ce n'est pas simple, mais très enrichissant, et je teste un petit programme perso dont je parlerai au prochain Tech Friday, notre rendez-vous hebdomadaire pour traiter d'un sujet technique », sourit-il, avant d’ajouter « et je retiendrai que la crête ne me va pas si mal ! ». Mais là où il se félicite, c’est sur l’organisation de l’équipe et de Max Digital Services. « Ce qui m'a plu dans cette nouvelle organisation, c'est que cela n'a pas trop changé finalement !  Il y a toujours cette même ambiance entre collègues, nous avons fait plus de choses que d'habitude, on s'est très vite organisés, même si j'aimerais surtout voir leur tête en réel maintenant ! Certaines coupes de cheveux sont superbes... ».

Gwladys, la Max des îles, nous raconte son confinement entre choc de l’annonce, arrêt de sa mission, participation de la MaxRadio, Tech Friday...

Gwladys est ingénieur logiciel chez MAXDS, où elle réalise et contribue au développement d’applications en PHP/Symfony. Avant le confinement, elle intervenait pour un client du secteur aéronautique sur le développement d’une application de gestion de tickets de réparation de terminaux. « L'annonce du confinement ne m'a pas surprise, je la trouvais même évidente. Mais ma mission, qui a débuté en janvier, devait être longue, cependant mon client a dû y mettre fin pour protéger ses internes. L'annonce a été brutale pour moi, et c'est là que j'ai réalisé que la sécurité de mon métier était faillible. En travaillant pour une ESN, on ne maitrise pas le report des contrats. On est tous concernés et personne n’est intouchable », se livre-t-elle. Sentiment d’être inutile face à ceux qui continuaient d’aller travailler, Gwladys a aujourd’hui balayé cette déprime passagère, notamment grâce aux liens très forts qui ont toujours existé entre les collaborateurs de MAXDS. « Nous avons gardé le contact tous ensemble dès le début, chose loin d'être évidente ! Il faut sans cesse se renouveler pour capter et garder l'attention ! ».

Un défi largement relevé par Gwladys qui fourmille d’idées. « J'ai énormément de projets en tête, mais il faut les transformer ! ». C’est ainsi qu’elle a réuni les Max (Wo)Men autour d’un point commun très fort : les challenges ! Elle a inventé un jeu qui mixe les émissions "Tout le monde veut prendre sa place" et le "Burger quizz". « Nous en sommes déjà à deux émissions ! ».  Elle contribue également régulièrement à la Max Radio du confinement, qui diffuse chaque matin un podcast pour réveiller les Max (Wo)Men ainsi que les clients, et sur laquelle elle diffuse des chroniques, ses cours de créole, des défis sportifs comme le yoga danse, et des sons. « J'essaie tant bien que mal de divertir l’équipe. Au quotidien, ça prend pas mal de temps puisque je sors de ma zone de confort, il faut être imaginatif, et la plupart du temps ce sont des enregistrements audio qu'il faut monter techniquement pour un résultat sympa. J’apprends plein de choses ! ».

Après plusieurs semaines de confinement, au moment de faire un bilan, Gwladys retient surtout qu’il ne faut jamais se reposer sur ses lauriers, que rien n’est acquis et que l’on peut se retrouver en position de fragilité alors que tout allait bien le jour d’avant. « Chez Max, j'apprends qu'il faut constamment innover, se dépasser pour ne pas dire surpasser. Notre modèle fonctionne très bien, et cette période nous rappelle que si nous laissons passer la crise sans rien faire, on peut vite se retrouver isolé, et ce n'est ni notre volonté, ni notre état d’esprit ! Pour la petite anecdote, je réponds d'ailleurs à cet interview en plein "Tech Friday". Ce rendez-vous hebdomadaire survit au confinement et est suivi par la plupart des Max (Wo)Men ».

Même si elle aime finalement beaucoup travailler de chez elle et qu’elle ne s’ennuie pas une minute, Gwladys regrette tout de même « de ne pas être physiquement près des collègues. Nous avons des habitudes, des jeux, de la complicité qui est nettement diminuée par la période de confinement et que j'ai vraiment hâte de retrouver ! ».

Et le déconfinement ?

Si chacun a su trouver ses marques et mettre à profit le confinement pour s’investir dans la vie de MAX, les perspectives d’un déconfinement prochain galvanisent les troupes ! « On ne saurait dire notre joie à l’idée de nous retrouver bientôt, en vrai ! », témoigne Matthieu de Marolles, cofondateur du groupe. « Nous travaillons tous ensemble sur une stratégie de reprise qui serait sans risque et nous permettrait de nous retrouver enfin ! ».

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Crédit image : Max Digital Services