6 bonnes raisons de rejoindre la team de Max Digital Services en 2022

Véritable OVNI dans le paysage numérique rennais, Max Digital Services ne ressemble à aucune autre ESN. Et pour cause : la société s’est affranchie des codes de l’entreprise classique pour adopter un fonctionnement entièrement collaboratif centré sur la méthode Agile. « A très forte culture tech, notre société de services est coconstruite et portée par tous ses collaborateurs, pour le plus grand bonheur de nos clients. Nous privilégions les interactions humaines et prônons l’intelligence collective et le bon sens », résume Anthony Poignant, co-fondateur de l’ESN.

• Lead Développeur·se Fullstack .Net Core H/F

  Rennes - 35

  CDI

  40 000 - 55 000 € / an

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  il y a 9 jours
• Ingénieur·e DevOps H/F

  Rennes - 35

  CDI

  37 000 - 50 000 € / an

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  il y a 18 jours
• Tech Lead Java H/F

  Rennes - 35

  CDI

  42 000 - 55 000 € / an

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  il y a 23 jours
• Développeur·se Fullstack Java - Js Confirmé·e H/F

  Rennes - 35

  CDI

  38 000 - 50 000 € / an

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  il y a 24 jours
• Développeur·se Back Confirmé·e Java - Spring H/F

  Rennes - 35

  CDI

  38 000 - 50 000 € / an

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  il y a 24 jours

Fort de ce modèle atypique, Max DS reste fidèle à ses convictions depuis sa création en 2016, malgré des ajustements inévitables au vu de la croissance de l’effectif : « L’entreprise s’est beaucoup transformée, l’organisation n’est pas la même quand on passe de cinq collaborateurs à 35 aujourd’hui ! »

Voici six ingrédients du succès de Max Digital Services :

1) Un esprit collectif, le sens du service et une bonne dose de fun

« Avec mon binôme Matthieu, nous n’avons pas la prétention d’avoir la science infuse, les décisions collectives ont selon nous plus de sens et d’intérêt, affirme Anthony. Impliquer les collaborateurs est aussi gage d’un engagement plus fort et d’un réel sentiment d’appartenance de leur part ! »

« Les MAX partagent tous notre vision de l’entreprise et une vraie culture du service, appuie Matthieu de Marolles, co-fondateur. Personne ne vient chez nous par défaut ! »

Autre pilier de l’ADN de Max DS : la qualité de vie au travail. « On y passe du temps, il faut s’y sentir heureux ! souligne Anthony. Nous avons une équipe assez incroyable, très fun, imaginative et qui aime vivre ensemble. » Chaque jour, les MAX bâtissent une histoire commune au sein de locaux pensés et conçus dans un esprit « comme à la maison » … mais aussi lors de sorties, séminaires et autres afterworks endiablés !

2) La collaboration comme maître-mot

L’organisation de Max Digital Services se caractérise par un découpage en plusieurs teams, qui se réunissent une à deux fois par mois dans les locaux de l’ESN pour faire avancer les projets de l’entreprise (et échangent beaucoup via l’outil collaboratif Slack). Les équipes sont auto-constituées par thématiques : marketing, recrutement, formation, technique, etc.

La qualité des échanges est garantie par Maëva, facilitatrice RH : « C’est elle qui fluidifie les interactions, créé du lien entre les MAX et les motive au quotidien », précise Anthony.

Cette logique d’échanges s’applique aussi aux clients, qui sont invités à passer du temps dans les locaux de l’entreprise dans une ambiance décontractée. « Nous avons la chance d’avoir une agence sympa, chaleureuse, qui permet de se retrouver dans de bonnes conditions et dans le strict respect des gestes barrières. Pour bosser, créer ou approfondir des liens… et profiter de notre grande terrasse pour faire quelques grillades au barbecue ! Apprendre des autres, c’est notre culture. »

3) Un soin porté à l’intégration des nouveaux

« On entretient des liens très forts entre MAX, c’est super mais le risque est d’exclure sans le vouloir les nouveaux. On ne veut pas que nos private jokes compliquent leur intégration ! » La parade ? Une immersion qui commence dès le recrutement, souvent trois mois avant l’arrivée effective du collaborateur dans l’entreprise. « Il a accès à nos outils et peut assister à toutes nos réunions, conférences, Coding dojos… Quand il prend ses fonctions on le connaît déjà ! » affirme Matthieu.

Une fois en poste, le MAX bénéficie d’un accompagnement de proximité et d’un parrain dédié à sa montée en compétence progressive. Des points de suivi réguliers permettent de s’assurer qu’il se sent bien dans l’entreprise. « Dans certaines ESN, les collaborateurs sont plus intégrés dans la société cliente que dans celle qui les envoie en mission, déplore Anthony. C’est tout ce qu’on veut fuir ! »

Le témoignage de Maëva, qui a rejoint l’aventure deux mois plus tôt en remplacement d’un congé maternité, est sans appel : « J’ai déjà eu le plaisir par le passé de travailler avec Matthieu et Anthony, j’ai donc accepté cette mission les yeux fermés ! Ce modèle me correspond parfaitement ! »

4) Le lien humain avant tout

« Pour bien se connaître, il faut se voir, résume Anthony. C’est la clé de voûte de notre modèle. On pourrait croire que dans l’informatique le distanciel n’est pas un problème. Oui, la flexibilité est très importante, mais la crise sanitaire nous a montré à quel point le lien humain demeurait vital ! Partager des moments conviviaux et informels avec les collègues est deux fois plus essentiel pour les nouveaux, surtout dans une entreprise comme la nôtre ! »

« Nous n’avons pas attendu le Covid pour découvrir les bienfaits du télétravail. On sait faire et on est pour… mais pas à 100% ! confirme Matthieu. Nos collaborateurs doivent se sentir suffisamment en confiance pour discuter sans crainte avec chacun d’entre nous. Même si nous respectons à la lettre le protocole lié au contexte sanitaire, nous tenons à conserver, dans la mesure du possible, des rendez-vous physiques réguliers à l’agence. »

5) Un suivi personnalisé et bienveillant

Chez MAX, les entretiens individuels ne sont pas annuels mais trimestriels, tant avec les collaborateurs que les clients. Un rythme qui permet de détecter de manière précoce de potentiels écueils dans le déroulé des missions.

En anticipation permanente des attentes de chacun, l’ESN veille à l’évolution des carrières de tous les MAX, quels que soient leur âge et leur profil. « Chez nous, des jeunes au fort potentiel peuvent, par exemple, être très vite emmenés sur des sujets qu’on leur aurait confiés beaucoup plus tard dans d’autres structures. Il n’y a pas de limite ! »

L’entreprise s’appuie en parallèle sur les délégués du personnel pour mesurer l’épanouissement de ses équipes sous un autre angle. « Ils assurent un suivi complémentaire à l’aide d’un baromètre très précis qui interroge chacun sur son sentiment de bien-être, en mission comme chez MAX. On accepte volontiers la critique, car personne n’est infaillible et tout est perfectible ! »

6) Une culture tech bien vivante et une équipe plus soudée que jamais !

Chaque année est rythmée par deux rétros qui mobilisent l’ensemble des MAX. Le but : dresser le bilan et fixer les prochains objectifs de manière collective.

« Même si nous avons eu beaucoup d’échanges en distanciel et via notre web radio, 2020 a été bien sûr catastrophique sur le plan humain. 2021 a été l’année des retrouvailles : nous étions un peu éteints, il a fallu relancer la machine, analyse Anthony. On a retrouvé du rythme à partir du moment où on a renoué avec ces moments informels qui font la richesse de la boîte ! »

Les MAX sont plus que reboostés, si l’on en croit la liste impressionnante des actions menées par Max DS l’an dernier : mécénat auprès de l’institut Solacroup pour former des jeunes aux métiers du numérique, revalorisation des salaires de ses collaborateurs malgré la crise, interventions à l’ESIR et à l’Epitech de Rennes, lancement des premiers Coding dojos et de soirées jeux autour d’Among Us, organisation du MAX Camp, participation au Devfest et à l’Agile Tour… sans oublier quelques soirées terrasses et un séminaire mémorable de quatre jours au Pays Basque pour recharger les batteries de tout le monde !

« En tant que société de services, il est important pour nous d’organiser et de participer à des événements qui font vivre et qui cultivent notre culture tech », explique Matthieu. Nous sommes notamment très fiers de nos deux premiers conférenciers à l’Agile Tour, Alexis Tresso et Mathieu Bonnel, qui se sont respectivement exprimés sur la créativité en entreprise et le syndrome de l’imposteur. »

« On prévoit de professionnaliser notre activité formation, jusqu’ici bénévole, révèle pour sa part Anthony. C’est la suite logique ! Max Formation vient d’être reconnu officiellement Organisme de formation et nos premiers cursus GitLab et Java, dispensés par des MAX passionnés, sont déjà testés et approuvés ! »

Vous êtes tenté par l’aventure MAX ?

Oui, je postule !

Crédit image : Max Digital Services