Le tuteur en alternance : un référent qui vous ouvre les portes auprès des interlocuteurs experts

Avec un pied dans l’univers universitaire et l’autre dans le monde de l’entreprise, les étudiants qui font le choix de l’alternance ont l’occasion de gagner en maturité, d’enrichir leur CV et d’assurer leur employabilité. Un choix gagnant au regard des excellent chiffres sur l’insertion professionnelle des alternants, publiés par l’Apec en avril dernier. Ces diplômés « pas comme les autres » se retrouvent, deux ans après l’obtention de leur master, deux fois moins au chômage que les diplômés n’ayant pas suivi un parcours en alternance, soit 7 % contre 14 %.

« Le secteur bancaire, premier employeur privé de l’Hexagone, offre aujourd’hui une variété de métiers et de nombreux débouchés professionnels, d’autant plus lorsque l’on choisit la voie de l’alternance » indique Alain Nicolas, responsable du réseau DIFCAM Banque et Assurances Nord de France et directeur du CFA de Paris.

Plus d’un tiers des alternants sont recrutés à l’issue de leur formation

Faire le choix de l’apprentissage est indéniablement un tremplin vers le monde du travail, où l’insertion est plus rapide et plus facile. Pour continuer sur les chiffres : plus d’un tiers des alternants (37 %) ont eu une proposition d’embauche à l’issue de leur formation. Une moyenne que l’on retrouve au sein du Crédit Agricole Ile-de-France, qui recrute en moyenne 35 % des étudiants à l’issue de leur alternance. Une conclusion heureuse et bénéfique puisque, au-delà de l'acquisition de compétences clefs, les jeunes diplômés passés par le Crédit Agricole démarrent dans la vie active avec une véritable culture d’entreprise. « L’alternance est la formule idéale pour partager nos valeurs et développer un sentiment d’appartenance chez nos étudiants » témoignent Emilie Rouveau, responsable du recrutement et relations écoles, et Vanessa Morin, chargée d’activités recrutement au sein du Crédit Agricole. Une relation entreprise/apprenant particulière qui ne peut se construire sans la médiation d’une figure essentielle : le tuteur.

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Une collaboration unique entre « collègues »

Quand on est alternant, propulsé dans une entreprise dont on ignore bien souvent les codes et les spécificités, on a besoin de référents attentifs et motivés : les tuteurs ! Une mission qui n’est pas à prendre à la légère. Certains peuvent craindre le manque de temps, de formation et d’expérience, du travail supplémentaire en plus d’un quotidien déjà chargé. Une certaine maturité professionnelle est donc nécessaire, en plus d’une volonté réelle. Alain Nicolas en est convaincu : « il faut avoir la fibre ! Il ne s’agit pas uniquement de technique et de certifications. On parle là de responsabilités professionnelles et humaines. Les tuteurs s’engagent à accompagner nos jeunes sur une longue durée ». 

C’est pourquoi « il faut tout de suite considérer l’alternant comme un véritable collaborateur de l’entreprise, lui attribuer un vrai poste, de vraies missions et s’assurer que son tuteur est une personne engagée, qui a l’envie et l’énergie pour le former » complètent Emilie Rouveau.

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Des missions bien définies pour une alternance 100 % réussie

Le Crédit Agricole Ile-de-France mise avant tout sur un rapprochement gagnant-gagnant, où le tuteur comme l’alternant apprennent de leur collaboration. En intégrant l’entreprise, l’apprenti est certain d’être :

• accueilli et intégré, grâce à un parcours spécifique, au même titre que tout nouveau salarié
• formé, grâce à une découverte complète du métier exercé
• suivi dans sa progression
• évalué dans sa réussite, en vue d’un véritable pré-recrutement pour le CA Ile-de-France

Sans oublier de nombreux avantages et un package de rémunération intéressant.

Des tuteurs « qui ouvrent les portes de la connaissance auprès des interlocuteurs experts »

Quand M. Nicolas interroge des salariés-tuteurs avec lesquels le DIFCAM collabore, tous s’accordent à dire l’importance mais aussi la richesse de ce rôle de référent. « Au-delà de leur mission de formateur en interne, ils sont aussi là en soutien lors des périodes importantes du cursus de l’étudiant, ils endossent la figure de médiateur avec l'équipe et les clients, ils sont le relais des enseignants et intervenants du DIFCAM en construisant un process de mises en situations professionnalisantes… Ce sont des couteaux suisses, des personnes multi-ressources qui ouvrent les portes de la connaissance auprès des interlocuteurs experts ». Toutes ces actions de tutorat sont pensées et développées en lien avec le DIFCAM, un réseau de 9 centres de formations supérieures par l’apprentissage dans le domaine de la banque-assurance (DUT, licence professionnelle et masters 1 et 2) : le troisième acteur de cette formule gagnante.

C’est grâce à ce travail de fond sur le rôle du maître d’apprentissage que le Crédit Agricole francilien bénéficie aujourd’hui d’une renommée solide auprès des alternants et jeunes diplômés. Par sa capacité à attirer et fidéliser les futurs talents, le géant du secteur bancaire peut ainsi anticiper ses recrutements dans un marché tendu et créer un vivier de compétences. « Non seulement l’alternance nous permet de recruter et former des jeunes dans la durée, mais elle nous permet de les fidéliser en leur proposant de belles perspectives d’évolution au sein du groupe » conclut Vanessa Morin.

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