La "coolitude" des start-up en question
Déçue, une ex-salariée de start-up fait une critique au vitriol du modèle d’entreprise emblématique de la Silicon Valley. Le tableau n’est pourtant pas si sombre.
Son témoignage, espère-t-elle, va « libérer la parole d’autres petites mains diplômées, polyglottes et recrutées pour des jobs sous-qualifiés dans des start-up ». Dans son ouvrage « Bienvenue dans le nouveau monde, comment j’ai survécu à la coolitude des start-up » publié aux éditions Premier Parallèle, Mathilde Ramadier dépeint le quotidien d’une vie professionnelle à Berlin, au sein de diverses jeunes pousses du numérique . « Le modèle, celui de la Silicon Valley, se retrouve dans toutes les start-up partout dans le monde », note la Française expatriée.
Conseil à ceux que l’organisation agile d’une start-up séduirait : ne jamais perdre de vue les conséquences de ce choix. Avant de prendre la décision de quitter un grand groupe pour une aguichante jeune entreprise innovante, quelques questions se posent. Attention, beaucoup dépend de la personnalité des patrons, personnages centraux du livre. « Lancer une start-up est à la mode, certains créateurs sont sérieux dès le début, d’autres tâtonnent et abusent de leurs équipes », reconnaît Julien Masson, PDG de Whyer et fin connaisseur du modèle start-up qu’il présente régulièrement à des grands groupes.
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