« C’est rassurant d’évoluer dans un groupe où on a le droit à l’erreur ! »

« Changer de métier, c’est bon pour la carrière mais surtout pour le moral, affirme Philippe CODOL, contrôleur au service prévoyance d’Apicil. Il n’y a pas d’âge pour se remettre en question et repartir à zéro. Il ne faut pas craindre le changement, surtout dans un groupe aussi solide qu’Apicil. Ici on peut évoluer et revenir en arrière si on s’est trompé de voie. On a le droit à l’erreur, c’est plutôt rassurant ! »

Philippe C parle en connaissance de cause. En vingt-cinq ans de carrière chez Apicil, l’homme a exploré différentes facettes du conseil et de la gestion clients. Et son voyage est loin d’être terminé !

Quand le destin s’en mêle…

Philippe, 53 ans, a mis un premier pied chez Apicil dans le cadre d’un CDD au service gestion. Au terme du contrat, Philippe C. n’est pas gardé « par manque de moyens ». Il rejoint donc une autre caisse de retraite, IGIREL, où il décroche son premier CDI dix mois plus tard. Peu après sa titularisation, coup de théâtre. Une fusion est annoncée… avec Apicil !

Philippe C. et les autres conseillers, auparavant basés à Villeurbanne, rejoignent les locaux lyonnais du groupe. « J’ai travaillé environ huit ans aux contrats collectifs. J’émettais des contrats pour les entreprises, affiliais leurs salariés, gérais la facturation… »

« J’aime toucher un peu à tout »

La spécialisation progressive du service le conduit à envisager un changement de poste. « Ce qui me plaît, c’est de toucher un peu à tout », confie-t-il. Désireux d’ajouter une nouvelle corde à son arc, il bascule sur un poste de conseiller épargne. « Les outils n’étaient pas du tout les mêmes qu’en gestion collective. La réglementation était aussi très différente. J’ai dû tout réapprendre ! »

Quatre ans plus tard, Philippe C. a de nouveau la bougeotte. « J’ai demandé à rejoindre le service prévoyance, où je suis toujours aujourd’hui. » Mais plus au même poste ! « J’ai demandé à devenir contrôleur au bout de six ans. Lorsqu’un conseiller monte un dossier, il me le soumet si nécessaire, lorsque le montant du capital décès est important, par exemple. »

Des mobilités encouragées au sein du groupe

Son parcours lui donne un avantage non négligeable par rapport à ses collègues. « Mes précédentes expériences m’ont apportées une vision plus large de nos activités. Cela me permet d’être plus précis dans les contrôles. Quand je vérifie les encaissements, je sais à quoi correspond tel ou tel chèque. Je travaille aussi de manière transverse avec les contrats collectifs car si l’affiliation n’est pas faite, on ne peut pas payer un sinistre. Nos services sont tous interconnectés ! »

Philippe a également tiré des bénéfices personnels de ses mobilités successives. « J’ai choisi de m’orienter vers certains services par intérêt géographique. A une époque, j’aurais pu rejoindre le pôle retraite mais il était basé à l’opposé de mon lieu de résidence. Ce n’est plus un frein depuis que nous sommes regroupés sur les nouveaux locaux d’Apicil, situés dans le quartier de la Part-Dieu à Lyon. »

L’autre avantage relevé par Philippe C. est matériel : « Quand on est expert dans son métier, on peut s’attendre à gagner plus au fil des années. Partir dans un autre service implique de redevenir débutant. On descend d’un échelon mais sans perte de salaire, et avec la possibilité d’être augmenté si tout se passe bien. » De quoi encourager les collaborateurs à sortir de leur zone de confort !

« Il faut accepter de se remettre en question »

Si Philippe C.  a toujours obtenu ce qu’il souhaitait, c’est avant tout car ses projets étaient bien réfléchis. « Lors des entretiens professionnels, j’ai beaucoup échangé avec les RH avant de me positionner. » Une fois sa décision prise, « le fait d’avoir atteint un certain niveau de connaissance dans chaque métier était un gage de sécurité pour le nouveau service ». « J’avais acquis de l’expérience au sein du groupe, je ne débutais pas complètement. »

Son savoir-être a fait le reste. « Mon expérience de la relation client m’a rendu très adaptable, analyse Philippe. Il faut aussi accepter de se remettre en question, de repartir à zéro. Ce n’est pas toujours évident. Changer de métier demande un fort investissement personnel. »

« On poursuit tous le même objectif »

Pour adoucir la transition, le groupe soigne l’accompagnement de ses collaborateurs. « Le parcours d’intégration est bien rôdé. J’ai bénéficié de nombreuses formations qui m’ont permis d’apprendre chaque métier au fur et à mesure, se remémore Philippe. J’étais aussi mentoré par une personne plus expérimentée qui se rendait disponible pour répondre à mes questions. Les équipes s’entraident aussi beaucoup au quotidien. »

Un soutien plus que bienvenu lorsqu’on interagit quotidiennement avec les assurés. « On poursuit tous le même objectif : satisfaire le client ! » La plupart des conseillers du service gestion assurent la permanence téléphonique un jour par semaine. « On est une dizaine sur le pôle, avec une personne qui supervise les appels. Il y a toujours quelqu’un vers qui se tourner si on a besoin d’aide. »

Vous aimez le contact client et êtes rigoureux, patient, organisé ?  « Nos métiers ont de bonnes chances de vous plaire ! » assure Philippe Codol.