Pourquoi rejoindre DomusVi en tant que cuisinier ou aide-soignant ?

Créé il y a 40 ans en France, DomusVi est aujourd’hui l’un des leaders mondiaux de l’habitat, des services et des soins dédiés aux personnes âgées. Sa mission : préserver leur qualité de vie et aider les sociétés à s’adapter au défi démographique du vieillissement.

DomusVi recrute principalement dans plusieurs familles de métier au sein de ses différentes structures dont le soin (aides-soignants, infirmiers…) et l’hôtellerie-restauration (chefs cuisiniers, commis, plongeurs…). Découvrez les avantages à rejoindre ce groupe au travers des témoignages de Priscilla Venderotte, aide-soignante en résidence médicalisée, et de Gabriel Honoré, chef cuisinier de l’une des maisons de retraite du groupe.

• Cuisinier H/F

  Salon-de-Provence - 13

  CDD

  2 000 - 2 050 € / mois

  ⏱️ 1 mois

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  il y a 22 heures
• Aide Soignant Diplômé H/F

  Sap-en-Auge - 61

  CDI

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  il y a 22 heures
• Infirmier H/F

  Marseille - 13

  CDI

  2 700 - 2 800 € / mois

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  il y a 22 heures
• Aide Soignant H/F

  Saint-Lys - 31

  CDD

  2 000 - 2 300 € / mois

  ⏱️ 1 mois

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  il y a 22 heures
• Psychologue - 50 H/F

  Le Vaudreuil - 27

  CDI

  Temps partiel

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  il y a 22 heures

Gabriel Honoré, chef cuisinier : « Il faut oublier la vision archaïque qu’on peut avoir de la restauration collective ! »

Du semi-gastronomique à la restauration collective

« J’ai 32 ans d’expérience dans la restauration, en semi-gastronomique et cuisine traditionnelle, commence Gabriel. J’ai même ouvert mon propre restaurant en 2010, avant de créer un centre de formation en 2016. » Une activité qui prend fin en 2018 suite à la réforme de la formation en France. 

Le chef de cuisine enchaîne alors les entretiens d’embauche sans grande conviction. « Je n’arrivais pas à me projeter dans une structure traditionnelle. On fait énormément d’heures, il faut travailler le week-end. C’est compliqué pour la vie de famille, surtout arrivé à un certain âge ! Je me suis alors inscrit sur une plateforme d’intérim et DomusVi m’a rapidement contacté. J’ai relevé le challenge et je ne le regrette pas du tout aujourd’hui ! »

« On travaille des produits frais »

A son arrivée il y a quatre ans, il découvre un environnement totalement différent de ce qu’il a l’habitude de voir. « Il ne faut pas croire qu’on cuisine des produits congelés ou sous-vide ! On travaille du frais avec un réel accompagnement et de nombreux outils. » 108 couverts sont servis dans le restaurant collectif, « plus les familles qui viennent manger avec leurs proches. Au total on tourne autour de 120 personnes par repas. »

La seule contrainte, selon lui : « Il y a un cahier des charges et certains protocoles à respecter. On établit nos menus en lien avec un nutritionniste car on ne peut pas faire tout et n’importe quoi, même si le groupe est à l’écoute de nos idées. Il y a vraiment une souplesse dans la production des repas. Si vous gérez bien votre budget, vous pouvez parfois faire plaisir à vos résidents avec des extras, organiser des ateliers cuisine… »

Un vrai équilibre vie pro-vie privée

Les horaires de travail diffèrent selon le poste occupé : « Un commis ou second de cuisine travaillera en roulement, de 07h30 à 14h puis de 16h30 à 19h30. Mais il aura un week-end sur deux et trois jours de repos après deux jours de service. Mon propre second, qui a fait ses armes dans de grands établissements à l’international, me dit toujours qu’il ne changerait de rythme pour rien au monde ! »

Gabriel apprécie aussi tout particulièrement son planning. « Je travaille du lundi au vendredi, de 6h à 14h. Le soir ma deuxième équipe prend le relais donc ma journée est terminée !  J’ai vraiment gagné en qualité de vie depuis que j’ai rejoint DomusVi. Et puis je prends beaucoup de plaisir dans mon travail, je me sens vraiment épanoui au sein du groupe ! »

Un management de proximité

En tant que chef de cuisine, Gabriel prend à cœur son rôle de manager : « J’essaie de valoriser mes collaborateurs, de les faire monter en compétences. Je suis moi-même accompagné, notamment par le responsable régional restauration de mon secteur, qui répond présent dès que j’ai besoin d’aide. Ça se passe très bien, il y a une très bonne ambiance dans l’équipe ! »

Le chef a depuis peu endossé une casquette de chef référent. « Je suis détaché deux jours par semaine sur d’autres sites. J’ai par exemple formé l’un de nos plongeurs pour qu’il passe en cuisine et je suis aujourd’hui très satisfait de son travail. »

Un salaire attractif

« Les salaires sont vraiment intéressants et il y a beaucoup d’avantages, dont une bonne mutuelle, affirme Gabriel. En tant que chef de cuisine, je touche aussi diverses primes : sur objectif mais aussi associées au pilotage et à la qualité des prestations apportées. »

Des échanges réguliers avec les résidents

« Pour montrer que c’est loin d’être dégradant, on a organisé une journée pendant laquelle tout le monde a mangé de la nourriture mixée, illustre Gabriel. Quelques résidents ont cuisiné avec nous, ils nous ont parlé de leur passé, de leurs habitudes en cuisine, c’était un super moment de partage ! Pour nous c’était aussi l’occasion de faire preuve de transparence sur notre cuisine. »

Priscilla Venderotte, aide-soignante : « Si je dois passer plus de temps que prévu avec un résident, on me laisse le faire »

L’envie de donner du sens à son métier

La vocation de Priscilla est née très tôt. « J’ai toujours eu envie de me rendre utile auprès des personnes dans le besoin, révèle-t-elle. Je me suis donc orientée vers un BEP Sanitaire et social, puis un bac SMS (sciences médico-sociales). Au cours de mes stages, j’ai évolué dans des services de médecine, de chirurgie, dans le domaine de la petite enfance. Mais ce que j’ai préféré, c’est m’occuper des personnes âgées. »

Priscilla a trouvé chez DomusVi le cadre idéal pour exercer son métier dans de bonnes conditions. « On peut prendre soin du résident en prenant compte de ses spécificités. » Un accompagnement personnalisé qui apporte à chaque individu ce dont il a besoin, dans le respect de sa dignité. « Si je dois passer plus de temps que prévu avec une personne, on me laisse le faire. »

De la reconnaissance au quotidien

Et les résidents le lui rendent bien ! « Quand j’étais en unité Alzheimer, les résidents ont préparé un gâteau avec l’animatrice pour mon anniversaire, se remémore l’aide-soignante. Quand ils se sont rendu compte qu’ils n’avaient pas de cadeau, ils ont pris toute la décoration et l’ont emballée pour me l’offrir ! Ça m’a beaucoup touchée. »

Ce n’est pas la seule anecdote dont se souvient Priscilla : « Avec l’animatrice, on a organisé un week-end en bord de mer avec les résidents. Quand on les a rejoints sur place avec l’équipe soignante, ils nous ont reçu comme si on faisait partie de la famille. Ils nous ont fait visiter la maison et certaines dames nous ont même servi à boire ! »

Des temps d’échange ont aussi régulièrement lieu pour des occasions spéciales, comme Pâques ou Noël. Et les enfants du personnel sont conviés à la fête ! « Lors de ces événements, on crée des liens autrement avec les résidents, au-delà du soin. »

« On peut avoir des a priori sur le métier, alors qu’il y a énormément de points positifs ! »

L’amplitude horaire constitue pour elle le principal inconvénient inhérent à son métier. « Chaque équipe a son propre planning, on n’a pas toutes le même. Pour ma part je commence à 8h30 pour finir à 20h45, avec deux coupures entre 12h et 13h45, puis entre 17h30 et 18h. » Un rythme certes intensif mais compensé par des jours de repos.

Le jeu en vaut la chandelle selon Priscilla : « On peut avoir des a priori vis-à-vis de notre profession, alors qu’il y a énormément de points positifs, affirme-elle. Si vous aimez l’humain, le dialogue et prendre soin des autres, rejoignez-nous chez DomusVi ! »

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Crédit photo : DomusVi/HelloWork