De la mécanique à la banque, Gabin a sauté le pas au Crédit Mutuel MABN !

Entre la vidange d’une voiture et la gestion d’un compte bancaire, il y a un monde ! Gabin Janvier, 27 ans, a pourtant réussi à combler ce fossé grâce à l’accompagnement sur-mesure du Crédit Mutuel Maine-Anjou Basse-Normandie (MABN).

« J’ai travaillé pendant sept ans dans le secteur automobile, retrace-t-il. D’abord comme mécanicien, puis comme coordinateur technique. J’ai monté très vite les échelons ! » A tel point que le jeune homme finit par tourner en rond dans son poste. « Je ne voyais plus d’évolution possible, j’avais envie de redonner du sens à ma vie pro. J’ai donc décidé de me reconvertir. »

Un vrai coup de cœur pour le Crédit Mutuel MABN

Sa passion pour l’investissement l’a rapidement orienté vers le métier de conseiller bancaire. « J’ai postulé au Crédit Mutuel MABN car c’était ma banque personnelle, explique Gabin. Comme je m’entends très bien avec ma conseillère, je lui ai transmis mon CV pour qu’elle le relaie en interne. » Un choix à contrecourant de la tradition familiale : « Mes proches travaillent dans le secteur mais dans une autre banque ! »

De 70 à 80 alternants recrutés chaque année

Première étape : les tests de recrutement. Aucune difficulté pour Gabin, rappelé ensuite par Isabelle Betton, gestionnaire RH au Crédit Mutuel MABN. « Elle m’a d’abord proposé un CDD de trois mois car le recrutement des alternants était presque bouclé. Finalement, Isabelle m’a accordé la dernière place restante ! »

Une décision qui n’a rien d’un hasard : « Chaque année, on accueille entre 70 et 80 alternants sur notre fédération, précise la gestionnaire RH. Dès le mois de janvier, on accuse réception des candidatures et on contacte les futurs alternants pour la rentrée de septembre. En raison de son profil, nous avons d’abord pensé à intégrer Gabin au sein de notre plateforme en ligne. Sa forte motivation nous a poussé à l’orienter plutôt vers une licence banque-assurance en alternance d’un an, en vue de lui proposer ensuite un CDI dans l'une de nos caisses locales. »

Une entreprise qui soigne ses alternants

Les conditions n’étaient pourtant pas idéales, dixit Isabelle. « On évite normalement de placer nos alternants dans des caisses situées à plus de 30 minutes de route de leur domicile. Le carburant est un poste de dépense important, surtout quand on est étudiant ! » Or, la seule caisse pouvant accueillir Gabin se trouvait à 45 minutes en voiture de son lieu de résidence. Ce qui ne l’a pas freiné un seul instant !

« On veille à ce qu’il y ait toujours un tuteur et une équipe disponibles pour suivre nos alternants, explique Isabelle. Malgré la distance un peu plus importante que d’habitude, on était sûr que Gabin aurait un accompagnement qualitatif sur place. »

Un tutorat axé sur la pratique

Le jeune homme confirme : « J’avais une tutrice extrêmement engagée dans ma formation. J’ai bénéficié d’un parcours personnalisé tout au long de l’année, avec des débriefings presque tous les jours. Solène était très à l’écoute, je pouvais lui indiquer les points sur lesquels j’étais moins à l’aise pour qu’on les travaille ensemble. »

Après une courte période d’observation, sa tutrice l’a rapidement plongé dans le grand bain : « Dès le début, elle m’a fait sortir de ma zone de confort. C’est indispensable pour avancer et ne pas avoir de blocages par la suite. Je la remercie énormément car je pense avoir gagné du temps dans mon apprentissage grâce à ça. Si j’avais habité près de cette caisse, j’aurais demandé à rester là-bas après mon alternance ! »

Ce retour d’expérience est loin d’être un cas isolé, selon Isabelle. « Nos tuteurs sont très investis. Avec bienveillance et exigence, on demande assez rapidement aux alternants de prendre en charge des missions simples, en découverte, puis de plus en plus complexes à mesure qu’ils progressent. Si on embauche autant d’alternants sur notre territoire, ce n’est pas pour combler des trous mais pour répondre à notre objectif de recrutement ! »

Un recrutement en CDI à l’issue de la formation

Quand sa formation s’est achevée fin août 2022, Gabin a signé un CDI. « Isabelle a totalement respecté mes souhaits. Je lui en suis très reconnaissant ! A ma demande, j’ai été affecté à la caisse d’Andouillé (en Mayenne), plus proche de chez moi, et j’ai pu prendre un mois de congés avant ma prise de poste. Les locaux de la caisse sont super et mes nouveaux collègues sont bienveillants. Je n’ai pas perdu au change ! »

La réactivité des équipes RH découle d’un suivi régulier tout au long de l’alternance. Les membres de l’équipe RH rencontrent chaque alternant deux fois par an, en novembre-décembre et en mars-avril. « A cette échéance on peut déjà envisager la suite. Il y a bien sûr des prérequis pour être recruté : valider sa licence (ou son master selon les cas), être en capacité de gérer un portefeuille client, avoir obtenu l’AMF (autorisation délivrée par l’Autorité des marchés financiers) … »

Une montée en compétences progressive en caisse locale

Au quotidien, les missions de Gabin alternent entre tâches administratives et rendez-vous clients. « J’ai entre quatre et cinq entretiens par jour, en physique ou en visio. Je traite tous types de sujets : crédits à la consommation, crédits habitation, produits d’assurance… »

Gabin peut à tout moment s’appuyer sur ses pairs expérimentés. « Quand on positionne des conseillers débutants au sein d’une caisse, on sait que leurs collègues pourront les accompagner si besoin. Et puis notre siège est situé à Laval, donc à proximité de nos établissements. Les conseillers savent qui appeler en cas de besoin. »

95 % des managers issus de la promotion interne

En poste depuis peu, Gabin a encore besoin de temps pour maitriser toutes les subtilités de son métier. Ce qui ne l’empêche pas d’évaluer ses options de carrière au Crédit Mutuel MABN. « J’avais dans l’idée de m’orienter à terme vers la gestion de patrimoine. Mais plus le temps passe, plus j’éprouve de l’intérêt pour le volet professionnel. Je verrai bien. En tout cas je ne regrette absolument pas mon choix de reconversion professionnelle ! »

Une chose est sûre : les perspectives d’évolution ne manquent pas au Crédit Mutuel MABN. «95 % des managers sont issus de la promotion interne », illustre Isabelle. Le parcours classique ? Passer par un poste de chargé de clientèle particuliers, puis se spécialiser dans le conseil professionnel ou agricole avant de se diriger vers le management.

« Les conseillers passent un entretien professionnel avec leur manager tous les deux ans. En fonction de leurs souhaits de mobilités, nous pouvons déclencher un accompagnement managérial ou RH pour leur permettre d’atteindre leurs objectifs.

Une politique qui porte ses fruits, si l’on en croit la longévité des carrières en interne. « Il n’est pas rare de croiser des collègues qui ont 15 ou 20 ans d’expérience au Crédit Mutuel, affirme Gabin. Ça m’a beaucoup rassuré à mon arrivée ! »

« N’attendez pas d’être mal pour vous lancer ! »

Votre poste actuel ne vous satisfait plus, mais vous hésitez à postuler ? « N’attendez pas d’être mal pour vous lancer, conseille le jeune homme. Mon père me dit souvent une vie moyenne c’est 38 000 jours. Tu vas en passer 12 000 à dormir et 8 000 à être soit trop jeune, soit trop vieux. Les 10 000 restants, il faut les passer à faire ce que tu aimes !’ »

Je postule dès maintenant !

Crédit photo : Prisma Laval