Commerciale dans le secteur funéraire : « Il y a tout à faire d’un point de vue business et humain, c’est pour cela que c’est passionnant ! »

Vous êtes investi, à l’écoute et vous appréciez l’ambiance créée par une équipe soudée ? Pourquoi ne pas vous tourner vers le milieu du funéraire ? Rencontre avec Flore Picard et Claudia Brown, qui ont choisi de mettre leurs compétences commerciales au service des vivants chez Simplifia.

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En arrivant dans le milieu du funéraire, Flore Picard a découvert un « secteur passionnant ». « La mort concerne tout le monde. C’est un sujet universel. C’est incroyable de travailler dans un secteur comme celui-là ! », s’enthousiasme la Business Developer.

« Un milieu extrêmement humain »

Sa collègue Claudia Brown, Senior Account Manager, connaissait peu le sujet avant d’arriver chez Simplifia. « J’ai moi-même vécu la mort dans ma famille. J’avais une image à la fois très bonne et très mauvaise de l’accompagnement. Cela dépendait vraiment des pompes funèbres. Je suis arrivée à l’entretien avec une panoplie de questions, afin de savoir si ce milieu pouvait me plaire », raconte Claudia.

Et tout comme Flore, elle ne regrette pas son choix : « C’est un milieu extrêmement bienveillant. Ce qui intéresse nos partenaires, c’est à quel point nos services vont venir en aide aux familles. Notre logiciel leur permet de gagner énormément de temps et d’en consacrer plus au volet humain. »

Une activité peu connue du grand public

Comment parler de son métier à son entourage ? Claudia, 29 ans, évoque régulièrement le sujet avec ses proches : « J’ai beaucoup changé sur le sujet. Désormais, je parle de la mort sans tabou y compris avec mes amis. Je suis très étonnée que les personnes de notre âge ne se posent aucune question sur les obsèques ! »

Un sentiment partagé par Flore, 32 ans. Elle regrette que ce secteur soit si peu connu du grand public : « On n’en parle jamais, ni avec nos parents, ni avec nos amis, ni même à l’école ! »

« Un secteur qui mérite d’être dépoussiéré »

Au cours de leurs études et précédentes expériences professionnelles, les deux collègues, étaient loin de s’imaginer évoluer un jour dans ce secteur.

Flore, elle, commence sa carrière en cabinet de chasseur de têtes pour le recrutement de profils juridiques, fiscaux et immobiliers. Elle s’oriente ensuite vers l’immobilier d’entreprise et gère tous types de transactions, de la location à la vente. A Paris pendant neuf ans, elle « rentre » à Lyon et prend une pause quelques temps, pendant la pandémie. Elle se tourne alors une première fois vers le funéraire, en tant que conseillère : « J’ai exercé ce métier pendant presque deux ans, puis j’en ai eu assez du rythme de vie : pas de week-ends, les astreintes etc. » Mais, finalement, ce premier aperçu du funéraire lui permet d’arriver chez Simplifia.

Elle découvre une nouvelle manière d’utiliser ses compétences de commerciale dans un marché « délicat » : « C’est un secteur qui mérite d’être dépoussiéré. Puisque la publicité est interdite, c’est un milieu, souvent familial, qui tourne tout seul. Il y a tout à faire d’un point de vue business et c’est pour cela que c’est passionnant ! »

Présenter une autre vision du funéraire

Au sein de Simplifia, Flore a pour rôle la « conquête de nouveaux partenaires ». Son unique vivier ? Les pompes funèbres indépendantes. « L’objectif est de rentrer en contact avec eux et de leur présenter nos produits ainsi que notre valeur ajoutée, et puis, notre vision du funéraire, avec un écosystème d’entreprises entièrement indépendant et visible sur Internet. »

Simplifia propose une solution 3 en 1 à ses pompes funèbres partenaires : une vitrine digitale afin d’optimiser leur présence sur Internet, un logiciel funéraire pour l’organisation des obsèques ainsi qu’un service dédié à l’accompagnement des familles.

Après ce premier contact, Flore enclenche un processus de commercialisation et de partenariats. « C’est ma mission, 90% du temps. Mon autre fonction, plus transverse, a pour objectif de fidéliser nos partenaires. » Et écouter ses clients, c’est faire avancer sa propre entreprise, continue Flore : « Ils nous aident dans le développement de nos produits, car ils ont une approche de terrain. »

Les deux collègues insistent sur leurs liens tissés avec leurs partenaires et le temps dévolu à les écouter, les satisfaire. Et c’est sur ce dernier point que Claudia prend la suite de Flore.

Garantir la satisfaction des partenaires

Petite, Claudia se rêvait commissaire de police. Après un master en Droit public, lassée des études juridiques, elle décide de se tourner vers le commerce à la suite de quelques jobs étudiants. Elle part en Angleterre, d’où elle est originaire, afin d’apprendre le métier de commerciale. Outre-Manche, elle « apprend tout » de son nouveau métier. De retour en France, elle travaille comme directrice commerciale d’une entreprise du bâtiment pendant quelques années puis tente une création d’entreprise, qui ne survit pas à la pandémie. De nouveau sur le marché de l’emploi, elle est approchée par trois entreprises, dont Simplifia. On connaît la suite !

Claudia préfère utiliser, pour son métier, le terme de chargée de développement auprès de ses clients. Son rôle ? Garantir leur satisfaction. « Nous faisons en sorte qu’ils utilisent nos outils et qu’ils en soient contents. » En contact permanent avec eux, Claudia passe ses journées au téléphone, en visio et parfois sur le terrain, dans toute la France.

Proche de tous ses partenaires, elle converse même avec eux via SMS. « On doit être à leur écoute et constamment leur apporter des solutions. Pour qu’ils puissent accompagner les familles d’une part, mais également pour que ce soit rentable pour eux, parce qu’ils restent des chefs d’entreprises malgré tout. » 

Un environnement de travail jeune et dynamique

Les deux jeunes femmes ne s’en cachent pas, elles travaillent beaucoup. Mais l’ambiance chez Simplifia est un avantage crucial selon elles. « On travaille dans un environnement moderne, jeune et dynamique ! », raconte Flore et Claudia avant de poursuivre : « On s’aide beaucoup, on communique énormément et on est là les uns pour les autres ».

Parce qu’avant tout, Simplifia est une entreprise du digital qui privilégie le contact humain : « Il y a beaucoup de présentiel parce que c’est plus agréable en termes de relations humaines. Tout le monde s’entend bien d’une part, mais on est aussi plus efficaces car on échange directement dans l’open space », précise Claudia.

Authenticité et capacité d’adaptation : des qualités indispensables

Les qualités humaines sont primordiales pour travailler dans le milieu du funéraire selon les deux collègues. L’authenticité est le mot d’ordre chez Simplifia, explique Claudia : « Nous avons une règle d’or, c’est de construire une connexion émotionnelle à chacun de nos appels ou déplacements. »

Selon Flore, la seconde qualité nécessaire à leur métier est la capacité d’adaptation : « On n’est pas là que pour vendre, on cherche aussi à créer des relations. Il s’agit d’être capable de s’adapter à des interlocuteurs qui sont quotidiennement face au deuil. On n’est pas là pour les morts, mais pour les vivants. »

« Il faut rester ouvert d’esprit sur le funéraire et ne pas oublier que nous ne sommes pas directement au contact de la mort. On reste une boîte jeune, dans le numérique, avec d’excellents services et dix années d’expérience », conclut Claudia.

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Crédit photos : HelloWork/Simplifia