Faire carrière chez Berner : l’histoire d’un rugbyman professionnel devenu commercial !

“Moi je m’éclate dans ma vie pro, venez nous rejoindre chez Berner !” On aurait tort de faire attendre certains mots de la fin, car celui-ci est sans doute le message principal à retenir de nos échanges avec Tomas Gilardon Paz, commercial, et Julia Maitre, responsable du pôle recrutement : une invitation à imaginer une carrière chez Berner, quels que soient votre profil et votre parcours.

De l’Argentine à la France, des tour bus à la voiture de société

Tomas a commencé à jouer au rugby très jeune, même s’il ne joue plus actuellement pour cause de blessure : “C’est ma grande passion, mais j’ai dû prendre une décision pour continuer à avoir une bonne qualité de vie. J’ai été rugbyman professionnel de mes 20 ans à mes 30 ans, je l’étais encore quand je suis entré chez Berner en 2020. J’ai débuté en Argentine, mon pays d’origine, j’ai ensuite joué en Angleterre, puis en France, au sein de différents clubs.” Mais comme tout sportif pro, Tomas a conscience qu’il ne restera pas éternellement sur le terrain, en tous cas pas dans les stades : “Je voulais préparer la suite, acquérir de l’expérience dans un secteur qui me plait, le commerce. En Argentine, j’avais déjà travaillé en tant que commercial dans les secteurs alimentaire et viticole.”

C’est ce qui le conduit à postuler chez Berner, en 2019 : “J’ai rencontré Julia une première fois, mais mon profil n’a pas été retenu. Quelques mois plus tard, elle m’a rappelé pour me parler d’un poste qui se créait au sein de l’activité MGO (métal gros œuvre). J’étais évidemment très content, j’ai passé un entretien avec Sophie, ma manager actuelle et l’aventure a commencé. “

Point de départ chez Berner : une semaine au siège avec tous les nouveaux collaborateurs

Une fois recruté, Tomas a rejoint le campus Berner, pour la première semaine de formation, commune à tous les nouveaux collaborateurs, quel que soit leur poste. “C’est une semaine de formation plutôt théorique tournée vers les outils, les produits et la découverte de l’entreprise, décrit Julia. Tous les frais sont pris en charge par Berner, c’est une semaine assez intense. “ Intense, mais passionnante, selon Tomas : “Mieux vaut être en forme pour l’aborder, mais franchement, c’est top ! On y rencontre des personnes ultra compétentes, qui, pour certaines, n’ont pas d’expérience dans le commerce. Elles postulent, elles sont prises et leur réussite n’est pas liée à leur parcours mais à leur personnalité. De mon côté, j’étais à fond, j’avais une seule envie : apprendre, m’épanouir et réussir !”

Ce que Berner investit dans ses tout nouveaux collaborateurs dès le début de leur histoire commune a surpris Tomas : "Ça m'a marqué ! J’ai été formé, alors qu’ailleurs, avec le même profil, j’aurais peut-être été livré à moi-même. On arrive au siège en train ou en avion, on repart avec une voiture de société, un portable, une tablette, un ordinateur… Moi ça m’a donné une envie très forte d’assurer la suite !”

Une semaine sur le terrain

Dans la continuité de ce temps collectif sur le campus, les commerciaux partent une semaine sur le terrain avec un formateur expérimenté, puis c’est la troisième étape, une semaine de “mise en place”, avec le manager : “ Après la formation théorique au siège et la formation pratique en binôme, on passe à l’application sur le secteur qui sera celui du nouveau collaborateur : tournée, organisation, stratégie à mettre en place, visites chez les clients”, explique Julia.

En résumé, l’arrivée chez Berner est bien balisée : trois semaines de formation, puis un mois en autonomie avant un retour au siège pour une semaine de formation plus approfondie, qui clôt cette première période. Ensuite, la balle est dans le camp des commerciaux : chez Berner, comme partout, même très bien accompagné, on apprend aussi en chemin !

“Tu prends de l’élan et tu ne t’arrêtes pas !”

Pour Tomas, le succès ne s’est pas fait attendre : “J’ai progressé très vite et je ne compte pas m’arrêter ! J’ai compris que je pouvais choisir mon salaire : mieux je travaille, plus je gagne. J’ai développé mon périmètre, fidélisé mes clients. Au fil de l’eau, on connait mieux Berner, nos produits, on est plus pertinents dans nos propositions, on s’implante petit à petit… Tu prends de l’élan et tu ne t’arrêtes pas ! C’est un métier dans lequel il ne faut jamais se reposer sur ses acquis, parce que c’est là que tu te mets en danger.”

L’équilibre vie pro vie perso en passerait-il à la trappe ? Eh bien non, Tomas s’épanouit dans ce quotidien, qui lui laisse la main sur son planning : “On commence très tôt parce qu’on a des clients qui commencent tôt, tout simplement, mais on gère notre emploi du temps, on n’a pas de fiche horaire à faire tamponner. On a cette liberté, il faut savoir la gérer mais c’est un avantage important à mes yeux. Le vendredi à 15h30, on ne voit plus grand monde dans notre secteur… on peut considérer que la semaine est pliée et personne ne va rien nous dire. “

“Avant d’être un bon commercial, il faut être une bonne personne”

Depuis son arrivée chez Berner, il y a seulement deux ans, Tomas a donc évolué vite, s’éloignant des salaires d’entrée d’en moyenne 1800 à 2000 euros brut mensuels : “Moi, ça ne m’a jamais frustré, je suis convaincu que quand on veut quelque chose, il faut le gagner, ça n’arrive pas tout seul. C’est la façon dont j’ai été éduqué, avec cette mentalité et cette envie de progresser. Mais avant d’être un bon commercial, il faut être une bonne personne, quelqu’un qui aime rendre service. C’est là qu’on peut marquer des points. Vendre, c’est facile, mais il y a plein d’autres choses qui entrent en ligne de compte. Après la qualité des produits, l’image de l’entreprise, la présence… c’est la personne et son envie de réussir qui font la différence. Comment s’améliorer ? Ça vient tout seul, il ne faut pas se mettre la pression. “

Julia complète : “La part de l’humain dans le travail que décrit Tomas est vraie aussi dans la relation avec le manager, je pense que le matching a fonctionné pour Tomas, qui a une manager très investie. “ Tomas renchérit : “Oui absolument ! L’accompagnement est très important, surtout au début. Je suis arrivé dans une équipe assez jeune, on partageait la même expérience, on a pu s’entraider. Et Sophie, ma manager, sait comment mettre une pression saine. C’est quelqu’un qui est à l’écoute, qui sait doser les échanges et donner sa confiance. C’est une des clés de la réussite !”

Ce sens du collectif expérimenté sur les terrains du rugby, Tomas le retrouve dans sa vie pro actuelle : “Comme tous les sports d’équipe, le rugby apprend énormément, et notamment qu’on n’arrive à rien seul. Si on réussit chez Berner, c’est aussi parce qu’il y a plein de gens derrière.”

“Prenez le temps de faire connaissance avec Berner, de voir si vous vous reconnaissez dans nos valeurs !”

Si l’envie de rejoindre Tomas dans les équipes de Berner vient réveiller vos projets de mobilité ou de reconversion, n’hésitez pas à faire un pas supplémentaire : “Regardez les missions, bien sûr, mais mettez avant tout en avant votre personnalité et vos valeurs. Si je prends mon propre exemple, avant de travailler chez Berner, je n’étais pas vraiment épanouie dans mes postes précédents, pourtant assez similaires sur le papier. Et je pensais que le problème venait de moi. Mais je sais maintenant que les entreprises pour lesquelles je travaillais ne me ressemblaient pas. Prenez le temps de faire connaissance avec Berner, de voir si vous vous reconnaissez dans nos valeurs !”, assure Julia.

Pour en savoir plus sans vous engager, vous pouvez même prendre rendez-vous en ligne, sur le site de Berner : “Si vous vous posez des questions sur votre parcours et que vous ne savez pas si vous devez postuler, contactez-nous ! On peut aussi échanger en dehors du process de recrutement. Et n’oubliez pas que les commerciaux qui s’épanouissent le plus chez Berner ne sont pas forcément ceux avec la plus grande expérience commerciale.”

Faire ses débuts chez Berner demande de la persévérance, mais il y a de belles opportunités, assure Julia : “Comme les autres entreprises, on peut toujours s’améliorer et c’est ce qu’on fait. Notre package permet aux nouveaux collaborateurs de réussir, on a envie de construire avec eux des histoires sur la durée et on a à cœur de le montrer. On a aussi des projets RH ambitieux en cours, notamment pour proposer des parcours de carrière internationaux.”

Quant à Tomas, vous l’aurez sans doute compris, il compte bien continuer à évoluer : “C’est une entreprise dans laquelle je projette de passer toute ma vie professionnelle et c’est aussi ce qui est beau, car c’est très rare dans le monde du travail actuel !”

Crédit photo  : Jacob Lund - stock.adobe.com