Vous nous avez raconté vos meilleures blagues du 1er avril, on en a fait un top !

Cette année, le 1er avril est un samedi… ça tombe mal pour les blagues au bureau. Mais pour vous aider à préparer vos meilleures farces dès l’année prochaine, on a demandé aux internautes leurs meilleurs souvenirs de poisson d’avril. Et on n’a pas été déçu !

1 - Les petites blagues sans conséquence

C’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures farces ! Et vous êtes visiblement nombreux à puiser dans la tradition pour vous moquer gentiment de vos collègues.

La classique de chez classique reste, bien entendu, la blague qui consiste à s’attaquer au matériel de travail sur le bureau d’à côté, en particulier ce très cher ordinateur. Cela fait partie des blagues qui sont revenues le plus souvent : changer les touches du clavier, coller un scotch sous la souris ou encore changer le fond d’écran. Des petits pièges sans gravité qui font toujours rire, non ? En tout cas vous semblez valider !

2 - Les blagues potaches dont on se souvient

On monte d’un cran avec ces blagues dignes des plus grandes heures du collège, celles qui nous font tous rire bien cachés derrière notre écran mais qui peuvent facilement nous faire enrager quand on en est victime. On commence avec « les chouquettes garnies de moutarde ». Alors là, oui, bravo ! On imagine la tête des personnes qui ont eu la chance de croquer dedans… Vous pouvez bien sûr décliner cette farce avec n’importe quel type de pâtisserie, viennoiseries ou toute autre chose appétissante qui piégera les gourmands en un rien de temps. Humour et cuisine font si bon ménage.

Autre petite blague effrayante : « Un talkie-walkie caché dans le tiroir, le prénom de la victime susurré de l’autre côté . » Bouh ouh, mais c’est effrayant dites donc, digne d’un film d’horreur. On avait aussi la version de l’enceinte cachée dans un tiroir qui déclenche des bruits mystérieux à intervalle régulier. Idéal pour mettre mal à l’aise un collègue en plein appel téléphonique.

Enfin, on termine avec cette petite farce qui a peut-être brisé un work couple : « J’ai planqué le déjeuner de mon collègue et je suis rentré chez moi en oubliant la blague ». Attention à ce genre d’oubli, tout le monde ne rigole pas avec la pause déj !

100 blagues pour le 1er avril

3 - Les blagues qui auraient pu mal tourner

Parfois, ça va un peu trop loin… et c’est justement la blague qui reste gravée dans les mémoires de toute l’entreprise. Premier exemple avec ce message en deux temps : « Un collègue a collé un poisson d’avril sur le dos de la femme de ménage. » Bon, ok… « On a tous reçu un rappel du grand chef pour nous dire de respecter la femme de ménage. » Oups. La blague aura au moins servi à faire passer un message : on respecte TOUT le monde sur le lieu de travail !

Pour ce deuxième exemple, la blague pousse déjà le bouchon un peu plus loin : « Une personne de l’informatique a fait croire que le site avait été hacké. On a dû mobiliser 300 000 euros pour la cellule de crise en pleine nuit. » HA oui, quand même… On n’a pas le fin mot de l’histoire mais le petit rigolo a dû recevoir un sacré savon ! On espère d’ailleurs que cette blague ne s’est pas mal terminée pour son auteur.

Enfin, nous avons reçu le témoignage d’un arroseur arrosé qui nous rappelle à quel point il faut rester vigilant quand on fait des blagues. Surtout sur le choix de la personne avec qui on décide de rigoler …

« La directrice adjointe avait une réunion de prévue et, en accord avec mon directeur, je lui ai dit qu’un intervenant important allait venir à cette réunion. Puis, cinq minutes avant, je lui ai avoué que c’était un poisson d’avril. Je n’ai pas balancé mon directeur qui m’avait dit qu’elle avait de l’humour… mais j’en ai bavé pendant des mois. L’année suivante, le jour du 1er avril il y avait des blagues un peu partout dans la société. Elle est arrivée dans la salle de restauration et m’a fusillée du regard. Je lui ai dit, « je vous assure que je n’ai rien fait » mais il y avait du scotch sur toutes les souris des ordinateurs, une fausse affiche en panne sur la machine à café, et j’en passe. Plus jamais je ne ferai de blague ! En fait, elle avait les dents qui rayaient le parquet et elle était une tueuse au taf. Elle a essayé de m’humilier à plusieurs reprises pour se venger. Faites attention à qui vous faites une blague ! »

Notre témoin précise qu’il en a, bien sûr, voulu à son directeur qui, on s’en doute, devait parfaitement savoir que ça tournerait mal.

Crédits photo : Kabita Darlami / unsplash.com