Au bureau, quel actif êtes-vous ?
Au travail, il y a ceux heureux d’être là et d’échanger entre collègues, ceux qui attendent de « voir venir », ceux qui aiment travailler seuls, ceux qui aiment bouger… Bref, il y en a pour tous les profils. Et vous, quel est le vôtre ?

Dans son Baromètre 2015 sur la qualité de vie au travail, Actineo s’est amusé à dresser le portrait-type des actifs en fonction de leur mode de vie au travail. Il en découle 6 profils-type :
Les conviviaux
Les conviviaux sont principalement des femmes âgées de 36 à 45 ans, cadres de niveau intermédiaire sans responsabilité d’encadrement. Ils se déplacent plus dans l’entreprise qu’à l’extérieur. Ils fréquentent les coins café, terrasses et espaces verts et leur intérêt va vers la qualité de vie au travail avant même l’intérêt du travail. Qualité de vie au travail qui dépend surtout de leurs relations avec les collègues, mais aussi de la qualité de l'espace de travail et de l'absence de bruit.
Les attentistes
De même composition que le groupe précédent, les attentistes sont aussi des membres des services production, de l’administration de l’Etat, de personnes ayant plus de 5 ans d’ancienneté. Ils occupent plus de bureaux fermés que les conviviaux et sont plutôt sédentaires. Mais surtout, ils ont peu d’intérêt pour la qualité de vie au travail. Il s’intéressent surtout à l’intérêt du travail, au lieu de travail et au niveau de rémunération.
Les « privilégiés » du bureau fermé
Principalement des hommes de plus de 45 ans, de cadres sup’, de personnel dirigeant, et de collaborateurs ayant une ancienneté dans l’entreprise de 5 ans et plus. Ils vivent plutôt en Ile-de-France, travaillent dans une entreprise privée et utilisent des véhicules de fonction.
« Privilégiés » car à l’heure du tout « ouvert », le bureau individuel fermé est un luxe. Ils fréquentent davantage les salles de réunions fermées, de visioconférences, les auditoriums, et les tiers-lieux pour travailler (hôtels, restaurants, espaces voyageurs…). Leur qualité dépend de la qualité des relations entretenues au travail et de leur espace de travail, dont ils sont d’ailleurs très satisfaits.
Les sédentaires
Ce 4e groupe de moindre importance (moins de 10% de l’échantillon) est plus féminisé, plus jeune (26 à 35 ans), et composé de salariés d’une ancienneté plus limitée dans l’entreprise, de membres de catégories professionnelles intermédiaires. Ils travaillent plutôt en Ile-de-France, dans des espaces collectifs ouverts (type open space), travaillent peu à l’extérieur.
Pour eux, la qualité de vie prime avant l’intérêt de leur travail, les perspectives d’avenir ou les relations avec les collègues. Eux focalisent plutôt sur l’aménagement de leur poste de travail, l’état du mobilier, les rangements à disposition…
Les « coworkers »
Représentant 9% seulement de l’échantillon, les coworkers est majoritairement composé de jeunes, hommes et femmes. Jeunes cadres avec peu d’ancienneté, ils travaillent plutôt en Ile-de-France dans des administrations publiques de grande taille. Ils occupent des bureaux collectifs fermés de plus de 4 personnes ou des open space. Ils sont plus mobiles que les autres catégories et dans l’entreprise, utilisent plus les lieux de passage comme le restaurant, la cafeteria, la salle de sport. A l’extérieur, ils utilisent tous les tiers lieux : locaux des clients, tiers lieux privés, publics ou d’innovation… Ils sont globalement satisfaits des espaces de rencontre en entreprise et conscients de l’impact de l’espace de travail sur leurs relations au sein de l’entreprise.
Les « alter-espaces individualistes »
C’est un peu la génération Y, jeunes cadres franciliens de faible ancienneté, ils se distinguent par le fait d’être plus spécifiquement des hommes, travaillant plus dans des PME, dans des fonctions informatiques ou les systèmes d’information. Au sein de l’entreprise, ils affectionnent les espaces permettant l’agilité : espaces de confidentialité, de coworking, salles « quick », nulles de confidentialité… A l’externe, ils sont de grands utilisateurs de tiers-lieux pour travailler. Pour eux, ce qui compte avant tout, ce sont les perspectives d’avenir, bien avant l’intérêt du travail, la qualité de vie au travail, la rémunération ou le lieu de travail. Ils ont généralement une vision positive de leur espace de travail.
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