Keny, aide-soignant : « Il faut être humain et avoir de l’empathie pour exercer ce métier »

Si le cœur du métier reste le même, le quotidien d’un aide-soignant peut être très différent d’une structure à l’autre. D’autant que certaines ont considérablement amélioré les conditions de travail de leurs salariés ces dernières années.

L’envie d’avoir « plus de contact humain »

Originaire des Antilles, Keny est arrivé en France Métropolitaine en 2019. « J’ai d’abord travaillé dans une pharmacie à Epinay-sur-Seine et la relation client m’a beaucoup plu. » A tel point qu’il décide de se réorienter vers une profession « avec plus de contact humain ».

Mais ce n’est pas l’unique raison qui l’a poussé à devenir aide-soignant. « Mon grand-père a été victime d’un AVC et je m’en suis occupé avant de quitter les Antilles. C’est ce qui m’a donné envie de travailler aux côtés des personnes âgées », explique-t-il.

« J’ai été très bien suivi pendant mon alternance »

Keny rejoint l’un des établissements de Korian en 2020 dans le cadre d’un contrat d’alternance. « La cadre de santé qui m’a recruté a aussi été ma tutrice pendant ma formation. Au quotidien, j’étais bien accompagné, par trois personnes au total car il y avait des roulements d’équipes. »

L’aide-soignant ne tarit pas d’éloges sur ses formateurs. « J’ai été très bien suivi pendant toute mon alternance ! » Un avis visiblement partagé par sa cadre de santé, qui décide de l’embaucher en CDI dès l’obtention de son diplôme d’Etat d’Aide-Soignant (DEAS).

Le cas de Keny est loin d’être isolé au sein du groupe Clariane (dont fait partie Korian). Ses établissements recrutent en effet 1 000 apprentis et 5 000 aides-soignants en CDI chaque année. La formation, totalement prise en charge, vous ouvrira grand les portes du réseau. En plus de décrocher un CDI près de chez vous, vous bénéficiez chez Korian de tous les avantages d’un grand groupe : participation, intéressement, primes…  Vous aurez aussi la possibilité de changer de métier et/ou d’établissement au fil de votre carrière grâce à de nombreuses passerelles en interne.

« Ça fait plaisir de voir les résidents heureux ! »

Tout au long de son service, Keny prend soin des résidents de sa maison de retraite et les aide dans les gestes du quotidien. « Le matin, je les installe pour le petit-déjeuner, puis je réalise les soins de nursing (toilette, habillage, etc.). Je les accompagne à chaque repas car certains ont des difficultés à s’alimenter. La durée de la prise en charge varie selon les besoins. En unité protégée par exemple, on a plus de temps pour s’occuper des personnes. »

Le rôle de Keny va bien au-delà de ces missions d’assistance. « Les résidents me parlent souvent de leur passé, du métier qu’ils exerçaient, de leur famille. On noue des liens très forts avec eux. Lorsqu’on répond à une demande particulière, ça fait plaisir de les voir heureux ! »

Quant aux conditions de travail, « elles sont bonnes chez Korian. On travaille 12 heures par jour mais il y a des coupures régulières. Je bénéficie de deux jours de repos après deux ou trois jours de service consécutif, c’est un rythme qui me convient parfaitement ! » D’autant que Keny peut compter sur des horaires stables et la garantie d’être libre un week-end sur deux.

La possibilité d’évoluer au fil de votre carrière

Si l’aide-soignant apprécie son métier, il se projette déjà plus loin. « J’ai fait une demande de formation pour devenir infirmier il y a six mois. Je devrais commencer le cursus en 2025. Korian va le financer intégralement ! »

Doté de son propre institut de formation, l’Université Clariane, le groupe a en effet à cœur de développer les compétences de ses collaborateurs tout au long de leur carrière. Que vous vouliez renforcer vos acquis, évoluer ou changer d’établissement au cours de votre vie pro, le groupe saura vous proposer un accompagnement sur-mesure.

Une ambiance familiale et de l’entraide au quotidien

Si le poste requiert, selon Keny, une certaine endurance, il faut surtout selon lui « avoir de l’empathie et la volonté de comprendre l’autre. Certains résidents n’acceptent pas la maladie, ils peuvent avoir un mal-être qui nécessite un suivi personnalisé. »

Face à ces situations délicates, Keny peut heureusement compter sur le soutien sans faille de son équipe. « Dans mon Ehpad, l’ambiance est familiale, tout le monde s’entend bien et on s’entraide beaucoup au quotidien. »

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