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5 métiers qui recruteront dans la tech d’ici 2030

Par Adèle Charrier Publié le • Sponsorisé par Ecole PMN

La sélection de Geoffrey Martinache, directeur de l’école PMN (la Passerelle des Métiers du Numérique).

5 métiers qui recruteront dans la tech d’ici 2030
L'école PMN forme ses étudiants aux mutations qui attendent le secteur de la tech dans les prochaines années « notamment au niveau de l’IA et de la notion de Green IT ». © Ecole PMN / Groupe Fitec

Avec l’essor des nouvelles technologies, de l’IA et du big data, de nombreuses professions émergent depuis quelques années. Certains métiers qui n’existaient pas il y a dix ans, offrent aujourd’hui des perspectives professionnelles intéressantes, avec de belles rémunérations à la clef.

Geoffrey Martinache, directeur de l’école PMN (la Passerelle des Métiers du Numérique) dévoile la liste de ces métiers d’avenir, ainsi que les parcours proposés dans son établissement pour y accéder.

Geoffrey Martinache, Directeur de l'école PMN
Geoffrey Martinache
Directeur de l'école PMN

1. L'ingénieur data

L'ingénieur data (ou data engineer en anglais) récolte des données et élabore des algorithmes permettant de les traiter. « Il collecte des datas, puis les stocke dans des bases de données et espaces d’optimisation qu’il a conçus au préalable. Puis, il les traite et les sécurise afin d’améliorer la performance de l'organisation », résume Geoffrey Martinache. L'ingénieur data utilise souvent des logiciels tels qu’Hadoop, Spark, NoSQL, sur lesquels sont formés les étudiants de l’école PMN.

2. Data analyst

Le data analyst intervient juste après l’action de l'ingénieur data. Son rôle ? « Lire et faire parler les datas », explique Geoffrey Martinache. Son travail consiste d’abord à « nettoyer les données brutes, qui peuvent contenir des erreurs, des incohérences ou des valeurs manquantes, de façon à pouvoir les analyser. Il formule ensuite des rapports, et établit des recommandations », poursuit l’expert.

3. Chef de projet digital et smart data

Une autre profession dont les effectifs risquent d’augmenter d’ici 2030 :  le chef de projet digital et smart data, qui mène au poste plus expérimenté de product owner. Ses missions ? « Pour commencer, il définit les objectifs d'un projet digital. Puis, il planifie, et organise les ressources nécessaires à la concrétisation de ce projet », qui peut être le développement d’une application par exemple.

Le chef de projet digital organise le travail des équipes, en fonction des compétences nécessaires à chaque stade du développement de l’application. In fine, « il supervise son implémentation technique », ajoute le directeur.

4. Chef de projet cybersécurité

Avec la croissance des cyberattaques et des menaces numériques en tout genre, la cybersécurité est une voie prometteuse. Le travail du chef de projet en cybersécurité consiste à « sécuriser les données de l’organisation, afin de la protéger d’une cyberattaques », note Geoffrey Martinache. Pour cela, « il analyse les failles de sécurité et conçoit des solutions permettant à l’entreprise de résister aux intrusions numériques ». C’est aussi lui qui élabore des scénarios pour limiter la portée des attaques si toutefois elles surviennent. « Si vous vous faites cambrioler votre maison, vous ne pouvez pas toujours empêcher le voleur d'entrer. En revanche, vous pouvez faire en sorte qu’il n’aille pas au-delà de la cuisine », illustre-t-il.

Le chef de projet en cybersécurité forme aussi les équipes internes. Car en entreprise, de nombreuses attaques sont la conséquence de mails frauduleux ouverts par les collaborateurs.

5. Expert systèmes cloud

« Aujourd’hui, le cloud s’impose comme la nouvelle norme d’hébergement des applications », explique Geoffrey. L’expert en systèmes cloud est le spécialiste du fonctionnement de ces serveurs à distance et de leur utilisation en entreprise. Il est responsable de la gestion de ces outils et de l’optimisation des services associés. Son intervention permet à l'entreprise « d'être plus agile et flexible et d'optimiser son efficacité opérationnelle. »  Ce contrôle est d’autant plus nécessaire que « de plus en plus d'objets connectés, d'IA et d’outils divers, utilisent le cloud », fait savoir Geoffrey. L’expert en systèmes cloud a également pour missions de concevoir des architectures et des solutions plus responsables, dans une dynamique de green IT.

L’école MPN, une voie d’excellence vers ces métiers d’avenir

L’école PMN forme aujourd’hui 200 étudiants à ces métiers d’avenir. Sa particularité ? « Dans notre école, on propose des formations métiers, ce qui veut dire qu’elles ont été construites en partant des besoins du secteur », indique le directeur. De fait, les élèves ne sont pas formés au big data, un terme généraliste « qui ne veut pas dire grand-chose, mais ils apprennent le métier de data ingénieur ou data analyst », informe le directeur.

Le deuxième atout de l’établissement repose sur sa pédagogie de projets. « On permet aux étudiants d'acquérir des compétences en travaillant sur des projets d'entreprise, afin d'ancrer leur apprentissage à la réalité du terrain », explique-t-il. Ainsi, « ils ne vont pas savoir uniquement créer un algorithme, mais ils vont le faire pour répondre au besoin précis d’une société ».

Enfin, les enseignements sont dispensés de manière hybride, avec une partie en distanciel et une partie en présentiel, « pour garder une vie de campus » à Bordeaux, Paris, Lorient et Rennes.

L’école PMN propose une dizaine de formations, de bac à bac + 5, du bachelor au mastère, avec la possibilité de faire de l’alternance à partir de la deuxième année. À noter, l’école ne recrute les étudiants qu’à partir de la troisième année (B3) pour la rentrée de septembre 2025.

Former les étudiants aux évolutions du secteur

Si vous hésitez entre plusieurs écoles, rejoindre l’école PMN peut être une décision stratégique à long terme. Et ce, dans la mesure où l’établissement supérieur forme ses élèves aux mutations qui attendent le secteur de la tech dans les prochaines années, « notamment au niveau de l’IA et de la notion de Green IT ».

Sur ce deuxième volet, l’école est particulièrement avancée : « L'empreinte carbone du secteur tech est équivalente à celle du secteur aérien en Europe. C'est extrêmement fort. Il est donc impératif de former les étudiants à l’exploitation de solutions plus responsables, en leur apprenant par exemple à rédiger des lignes de code qui consomment moins d’énergie », explique Geoffrey Martinache.

C’est d’autant plus important que la législation risque de se durcir dans les prochaines années, pour faire face à cet enjeu écologique. « Les entreprises sont obligées de s'inscrire dans ce dispositif de Green IT, car elles ne sont pas sûres du prix de l'électricité, ni du comportement du législateur », conclut le directeur.

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