Romain, Technico-commercial en protection incendie : « Je suis libre de m’organiser comme je le souhaite ! »

Ex-technicien HSE, Romain Lefebvre n’a pas postulé chez Desautel par hasard. « Comme je travaillais dans la sûreté et la sécurité incendie, je connaissais déjà l’entreprise. C’est celle que je voulais rejoindre pour exercer ce métier, et pas une autre ! » Envie de savoir pourquoi ?

Voici cinq raisons de rejoindre ce groupe français, familial et leader dans son domaine !

Pour la richesse des missions

« J’ai le plaisir de rencontrer des personnes d’horizons et de corps de métiers très différents tous les jours, explique Romain. Quand on arrive sur site, on ne sait jamais ce qu’on va trouver sur place. » Cette découverte sans cesse renouvelée le pousse à « une réflexion permanente ». « Il faut s’adapter à l’environnement, à notre interlocuteur et aux moyens dont il dispose pour s’équiper. »

Romain propose principalement des extincteurs à ses clients, « le cœur de métier de Desautel ». « Nous commercialisons aussi des systèmes de détection et extinction automatiques, de désenfumage, de compartimentage, des plans d’évacuation et toute une gamme de services de maintenance pour ces différents produits, ainsi que des formations de sécurité (gestion de l’évacuation, manipulation d’extincteurs ou secourisme) », précise le commercial.

Pour la qualité de la relation client

La protection incendie concerne tous types d’établissements : « La semaine dernière, j’ai visité une école maternelle, une industrie, un hôtel et un hôpital pour enfants autistes, illustre Romain. Comme les enfants touchent à tout, ils peuvent se blesser en manipulant les extincteurs. Nous devons bien réfléchir à leur installation avec le client. La relation qu’on noue avec lui est essentielle pour trouver des solutions adaptées. »

Son premier réflexe quand il visite un nouveau client ? « Regarder où sont placés les extincteurs et les plans d’évacuation. Si je constate des soucis ou manquements à la réglementation, je le glisserais ensuite dans la conversation. » Mais subtilement ! « Il ne faut pas l’amener comme une critique mais, au contraire, le tourner de manière positive. » La psychologie est de mise pour sensibiliser le client… sans le braquer !

Parce que le conseil prime sur le commerce

« Je me dois de bien conseiller les clients car on ne vend pas des tapis ! » rappelle Romain. Les produits de sécurité sont logiquement soumis à un certain nombre de règlementations. « On ne peut pas faire ce qu’on veut. Nous devons être précis dans nos recommandations. »

Chez Desautel, le commercial bénéficie de moyens à la hauteur des enjeux : « J’ai accès à toute la documentation nécessaire. Et si j’ai un besoin particulier, je sais que je pourrais obtenir ce que je demande facilement. » Aussi étonnant que cela puisse paraître, cette prise en charge est loin d’être la norme dans le secteur : « Lorsque j’étais technicien HSE, j’ai souvent dû acheter la documentation sur mes deniers personnels ! »

Pour le package de rémunération

La fourchette de rémunération d’un agent technico-commercial est comprise entre 30 et 45 000 euros brut annuels. Le salaire se compose d’un fixe, d’un variable et de diverses primes. « Desautel propose une prime minimum garantie les six premiers mois, quels que soient nos résultats, souligne Romain. Ça rassure beaucoup au début ! »

Le véhicule, assorti d’une carte essence, permet à Romain d’exercer ses missions sans avancer de frais. « C’est un avantage non négligeable car je vis dans l’Oise (60) et me déplace sur tout le 93 pour rencontrer mes clients. »

Trois mois après son arrivée chez Desautel, Romain récolte déjà les fruits de son travail : « Si on travaille bien, le salaire est plutôt confortable ! »

Pour l’ambiance !

S’il visite ses clients seul, Romain passe au bureau tous les jours. « C’est sur mon chemin donc j’aime bien venir saluer l’équipe. » Rien ne l’y oblige pourtant : « Je suis libre de m’organiser comme je le souhaite ! » Son agence est composée de cinq commerciaux, de quatre assistantes, d’un responsable SAV, d’une directrice d’agence et d’une vingtaine de techniciens chargés de vérifier et d’entretenir les installations. Un effectif conséquent qui se justifie par « le nombre de clients », mais aussi par le fait que « le corps de métier est très encadré ». « On s’entraide beaucoup au quotidien, assure Romain. Même si on est autonome sur le terrain, il ne faut pas hésiter à poser des questions. C’est comme ça qu’on avance ! »